Pourquoi faire la guerre contre le cancer est une erreur ?

Et contre quoi faudrait-il vraiment se battre ?

Depuis des décennies, le cancer est présenté comme un ennemi intérieur qu’il faudrait éradiquer, à coups de traitements lourds, agressifs et souvent mutilants. On parle « de » « lutte contre le cancer », de « guerre contre la maladie », de « combattants », de « batailles », de « victoires » ou de « défaites ».
Ce langage guerrier s’est imposé partout : dans les hôpitaux, les médias, les campagnes de prévention… et jusque dans l’imaginaire des patients.

Mais… et si cette guerre était mal dirigée ?
Et si le véritable ennemi n’était pas la tumeur elle-même, mais ce qui l’a rendue possible ?
Et si cette guerre, au lieu de sauver des vies, faisait parfois plus de mal que de bien ?

Le cancer n’est pas un intrus, mais un processus intérieur

Le cancer n’est pas causé par un virus, une bactérie ou une agression extérieure. Il vient de nos propres cellules, qui cessent de coopérer, se mettent à proliférer, et échappent au contrôle du corps.
C’est un processus biologique issu du vivant, une régression vers un comportement cellulaire primitif, comme le décrivent les biologistes de l’évolution.

Faire la guerre à nos propres cellules revient à se battre contre soi-même, au lieu de comprendre ce qui a perturbé l’équilibre initial.

Le véritable ennemi : les causes profondes du dérèglement

Au lieu de diriger toute notre énergie vers la destruction des cellules cancéreuses, ne devrions-nous pas plutôt nous attaquer aux causes réelles de leur apparition ?
Ces causes sont nombreuses, bien connues, mais trop souvent ignorées :

• Une alimentation transformée, appauvrie et surchargée en produits chimiques
• Une pollution environnementale chronique (air, eau, sols)
• Des produits chimiques (additifs, perturbateurs endocriniens, pesticides)
• Un stress permanent, un rythme de vie déconnecté des cycles naturels
• La sédentarité,
• la privation de lumière naturelle,
• l’isolement social
• Un microbiote appauvri, un système immunitaire affaibli
• Des ondes électromagnétiques omniprésentes…

Ces facteurs cancérigènes, bien identifiés, ne sont jamais traités comme les véritables ennemis à éliminer.
Or, ce sont eux qui affaiblissent le terrain, altèrent notre ADN, et ouvrent la voie au cancer.

Une guerre aveugle, souvent destructrice

Les traitements conventionnels cherchent à éradiquer la tumeur à tout prix. Mais cette approche, souvent violente (chirurgies mutilantes, chimiothérapies, radiothérapies), attaque autant le malade que la maladie.
Elle affaiblit le corps, anéantit l’immunité, crée de nouveaux déséquilibres, et dans certains cas, favorise les rechutes.

De plus, le langage guerrier isole et culpabilise les patients, ce qui peut être traumatisant, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’enfants. S’ils « perdent leur combat », c’est qu’ils n’auraient « pas été assez forts » ? Quelle erreur ! Quelle violence intérieure ajoutée à la souffrance !

Changer de stratégie : renforcer la vie, au lieu de vouloir détruire à tout prix

Ce qu’il faut, ce n’est pas détruire le cancer, mais transformer le terrain qui l’a vu naître.
Il s’agit de :

• Éliminer les causes cancérigènes de nos vies modernes
• Nourrir l’organisme avec des aliments vivants, non pollués, naturels
• Renforcer l’immunité, stimuler l’élimination, réduire l’inflammation
• Apaiser le mental, retrouver un rythme respectueux du vivant
• Créer des environnements de santé régénérateurs, où l’amour, la paix, la nature et la joie ont toute leur place

Le cancer peut alors régresser, ralentir, voire disparaître naturellement, à partir du moment où le terrain redevient hostile à son développement.

Conclusion : choisir la paix plutôt que la guerre

Faire la guerre au cancer, c’est lutter contre un symptôme, en ignorant les causes profondes.

Changer notre regard, c’est reconnaître que le cancer n’est pas l’ennemi, mais le messager d’un déséquilibre.
Ce que nous devons combattre, ce sont les causes environnementales, alimentaires, émotionnelles et sociétales qui rendent le cancer de plus en plus répandu dans nos sociétés modernes, à un âge parfois encore très jeune.

Ainsi, ce n’est pas un combat qu’il faut mener…
C’est un art de vivre en harmonie avec la vie qu’il faut retrouver.

Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

Par ailleurs, il est possible de visionner des vidéos sur le cancer infantil, de lire des articles sur le cancer pédiatrique et de comprendre l’essence de certains travaux et ouvrages publiés sur cette terrible maladie qu’est le cancer :

Voici ici la liste des vidéos et articles publiés sur le cancer pédiatrique, ainsi que des travaux et ouvrages sur la maladie du cancer :

La chaîne YouTube Centre ¡VIVA LA VIDA! – français présente des vidéos éducatives et de sensibilisation sur le cancer de l’enfant :

La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :

Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.