

Centre ¡ Viva la Vida !
Pour offrir aux enfants cancéreux une régénération naturelle de leur santé avec tout le Respect et l’Amour qu’ils méritent


Approches naturelles du cancer par des scientifiques
Les travaux de Laurent Schwartz sur les cellules cancéreuses
Le médecin qui a ouvert une nouvelle voie de compréhension du cancer à travers les mitochondries
Dans le panorama des approches naturelles du cancer, Laurent Schwartz occupe une place singulière. Cet oncologue français, formé aux plus grandes institutions médicales américaines, a osé remettre en question les fondements mêmes de la cancérologie moderne. En s’appuyant sur des bases scientifiques rigoureuses, il propose une compréhension du cancer qui ouvre des perspectives nouvelles. Ses recherches confirment que le cancer n’est pas l’ennemi mystérieux et invincible que l’on nous présente, mais une maladie métabolique dont la logique, une fois comprise, révèle des pistes de traitement remarquablement simples.
1. Un oncologue brillant confronté aux limites des traitements conventionnels
Né en 1958 à Strasbourg dans une famille d’intellectuels et de scientifiques alsaciens, Laurent Schwartz suit un parcours académique exemplaire. Après ses études de médecine en France, il part se perfectionner aux États-Unis, là où se trouve le cœur de la recherche mondiale sur le cancer. Il intègre le National Cancer Institute comme chercheur, puis se spécialise en oncologie au Massachusetts General Hospital, rattaché à la prestigieuse faculté de médecine de Harvard. Cette formation d’excellence lui confère une connaissance approfondie des protocoles de traitement conventionnels du cancer.
De retour en France en 1990, il rejoint l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris en tant que radiothérapeute. C’est là, au contact quotidien des malades, qu’il mesure l’ampleur du problème. Malgré les progrès techniques, malgré les milliards investis dans la recherche, malgré les traitements de plus en plus sophistiqués, la mortalité par cancer n’a que très peu diminué depuis les années 1960 dans les pays occidentaux. Pour certains cancers parmi les plus agressifs, comme ceux du pancréas, du poumon, du foie ou du cerveau, la moitié des patients ne survit pas six mois après le diagnostic.
Cette confrontation brutale avec les limites des thérapies conventionnelles pousse Laurent Schwartz à s’interroger sur les fondements mêmes de la cancérologie. Et si l’approche actuelle faisait fausse route ? Et si, au lieu de chercher uniquement à détruire les cellules cancéreuses avec des traitements toujours plus agressifs, on cherchait à comprendre pourquoi elles dysfonctionnent ? Cette remise en question courageuse va l’amener à explorer une piste oubliée depuis près d’un siècle, celle du métabolisme cellulaire.

2. Des recherches dans la suite des découvertes du docteur Otto Warburg
C’est en revisitant les travaux d’Otto Warburg, prix Nobel de médecine en 1931, que Laurent Schwartz va trouver la clé de sa compréhension du cancer. Warburg avait découvert que les cellules cancéreuses possèdent un métabolisme énergétique profondément différent de celui des cellules saines. Alors que les cellules normales produisent leur énergie principalement par la respiration cellulaire dans les mitochondries, les cellules cancéreuses, elles, fermentent le glucose même en présence d’oxygène. Ce phénomène, baptisé effet Warburg, transforme la façon dont on peut comprendre le cancer.
Warburg avait émis l’hypothèse audacieuse que ce dysfonctionnement métabolique n’était pas une conséquence du cancer, mais sa cause première. Les facteurs cancérigènes comme l’âge, les produits toxiques, les rayonnements ou le stress chronique ne seraient que des causes secondaires déclenchant ce basculement métabolique. Cette vision révolutionnaire a pourtant été abandonnée au profit de l’approche génétique qui domine aujourd’hui la cancérologie. On a préféré chercher des mutations dans les gènes plutôt que de s’intéresser au fonctionnement énergétique des cellules.
Laurent Schwartz comprend qu’il faut réhabiliter cette piste métabolique. Avec une équipe pluridisciplinaire rassemblant physiciens, mathématiciens, biologistes et médecins, il reprend et approfondit les découvertes de Warburg. Cette collaboration entre disciplines différentes permet d’apporter un regard neuf sur le cancer. Les physiciens apportent leur compréhension des flux d’énergie, les mathématiciens modélisent les processus métaboliques, les biologistes étudient les mécanismes cellulaires. Cette approche transversale permet de comprendre que tous les cancers, quelle que soit leur localisation, partagent cette caractéristique commune du dysfonctionnement mitochondrial.
L’utilisation du PET-scan en cancérologie confirme d’ailleurs cette réalité métabolique. Cet examen consiste à injecter du glucose radioactif au patient. Les zones où ce glucose se concentre massivement révèlent la présence de cellules cancéreuses, avides de sucre en raison de leur métabolisme anormal. Cette observation clinique quotidienne valide la pertinence de l’approche métabolique, même si la médecine conventionnelle n’en tire pas toutes les conséquences thérapeutiques.
3. Le cancer vu comme la conséquence d’un dysfonctionnement mitochondrial : la théorie métabolique
Dans une cellule saine, les mitochondries fonctionnent comme de véritables centrales énergétiques. Elles brûlent le glucose en présence d’oxygène pour produire de l’énergie sous forme d’ATP, tout en générant du gaz carbonique et de l’eau. Ce processus de respiration cellulaire est d’une efficacité remarquable, produisant trente-deux molécules d’ATP à partir d’une seule molécule de glucose. Pendant cette combustion, la cellule arrache des électrons et des protons au glucose pour les combiner à l’oxygène, formant ainsi de l’eau métabolique.
Mais que se passe-t-il lorsque ce système se dérègle ? Lorsque les mitochondries ne fonctionnent plus correctement, le glucose ne peut plus être brûlé efficacement. Les électrons et les protons qui devraient se combiner à l’oxygène restent prisonniers dans la cellule, créant un gigantesque embouteillage métabolique. Laurent Schwartz parle d’un excès d’électrons qui provoque une véritable congestion énergétique. La cellule se retrouve dans une impasse physiologique.
Pour survivre malgré ce dysfonctionnement, la cellule cancéreuse n’a qu’une solution : basculer vers la fermentation. Elle ouvre ses vannes au glucose et en consomme des quantités considérables. Une cellule cancéreuse ingère jusqu’à dix fois plus de glucose qu’une cellule saine. Mais cette fermentation produit beaucoup moins d’énergie que la respiration normale, seulement deux molécules d’ATP par molécule de glucose au lieu de trente-deux. La cellule doit donc compenser ce rendement catastrophique en absorbant toujours plus de glucose.
Cette fermentation produit du lactate, transformant l’environnement autour de la tumeur en milieu acide. Paradoxalement, la cellule cancéreuse elle-même devient basique, ce qui favorise sa multiplication rapide. Les électrons qui ne trouvent plus leur cible normale, l’oxygène, sont détournés vers la synthèse de biomasse. Au lieu de produire de l’énergie et de la chaleur, la cellule produit des membranes cellulaires et prolifère de façon anarchique. Le cancer apparaît ainsi comme la conséquence directe d’un problème de combustion du sucre lié au mauvais fonctionnement des mitochondries.
Cette compréhension métabolique permet de saisir pourquoi tous les cancers, malgré leur diversité apparente, partagent cette caractéristique fondamentale. Qu’il s’agisse d’un cancer du sein, du poumon, du foie ou du cerveau, le mécanisme sous-jacent reste le même : des mitochondries défaillantes, une fermentation excessive, une consommation pathologique de glucose et une prolifération cellulaire incontrôlée. Le siège du mécanisme du cancer se trouve donc dans la mitochondrie, et non dans le génome comme le postule la cancérologie dominante.
4. La proposition d’un traitement métabolique simple et non toxique pour rétablir la respiration cellulaire
Fort de cette compréhension métabolique, Laurent Schwartz propose une stratégie thérapeutique qui diffère radicalement des approches conventionnelles. Au lieu de chercher uniquement à détruire les cellules cancéreuses, il suggère de corriger leur métabolisme pour les ramener à un fonctionnement normal. Cette normalisation métabolique passe par deux axes complémentaires : diminuer l’apport de glucose aux cellules cancéreuses et relancer l’activité des mitochondries.
Pour réduire la disponibilité du glucose, Laurent Schwartz recommande un régime cétogène, pauvre en glucides et riche en graisses de qualité. Ce régime force l’organisme à produire des corps cétoniques comme source d’énergie alternative. Les cellules saines s’adaptent facilement à ce changement métabolique, mais les cellules cancéreuses, dépendantes de la fermentation du glucose, se trouvent privées de leur carburant principal. Cette restriction glucidique constitue une première ligne de défense métabolique contre la prolifération tumorale.
Parallèlement, Laurent Schwartz propose d’utiliser des substances capables de relancer l’activité mitochondriale. Après avoir testé une centaine de molécules sur des modèles animaux, son équipe a identifié une combinaison particulièrement intéressante : l’acide alpha-lipoïque et l’hydroxycitrate issu du Garcinia cambogia. L’acide alpha-lipoïque agit comme un activateur de la pyruvate déshydrogénase, une enzyme clé qui permet au glucose de pénétrer dans les mitochondries pour y être brûlé correctement. L’hydroxycitrate, quant à lui, inhibe la citrate lyase, une enzyme impliquée dans la synthèse des membranes cellulaires, limitant ainsi la capacité de prolifération des cellules cancéreuses.
Les expérimentations menées par Laurent Schwartz sur des souris porteuses de tumeurs ont montré que cette combinaison permet de stabiliser la croissance tumorale, voire de faire régresser certaines tumeurs. Certains patients atteints de cancers graves, notamment de glioblastomes ou de métastases cérébrales, ont connu des améliorations significatives en combinant ce traitement métabolique avec des chimiothérapies ciblées. Laurent Schwartz insiste sur le fait que son protocole ne remplace pas les traitements conventionnels mais les complète, en rendant les cellules cancéreuses plus vulnérables aux thérapies classiques.
À ces deux substances principales, Laurent Schwartz a progressivement ajouté le bleu de méthylène, une molécule capable de restaurer la chaîne respiratoire mitochondriale endommagée. Le bleu de méthylène agit comme un transporteur d’électrons alternatif, permettant de débloquer l’embouteillage métabolique et de réduire la fermentation pathologique. Ce protocole métabolique se présente donc comme un traitement complémentaire non toxique, visant à corriger le dysfonctionnement énergétique des cellules cancéreuses plutôt qu’à les empoisonner massivement.








5. L’importance de restaurer la fonction mitochondriale en cas de cancer : une approche encore plus naturelle
Les travaux de Laurent Schwartz confirment l’importance cruciale de la santé mitochondriale dans la prévention et le traitement du cancer. Sa proposition d’utiliser l’acide alpha-lipoïque, l’hydroxycitrate et le bleu de méthylène constitue une avancée intéressante vers des traitements moins toxiques. Cependant, ces substances restent des produits à ingérer, avec leur lot d’effets secondaires possibles, même s’ils sont minimes comparés aux chimiothérapies classiques. Des troubles gastro-intestinaux, des maux de tête, voire dans de rares cas des hépatites, ont été rapportés chez certains patients suivant ce protocole.
Or, il existe des moyens encore plus naturels et profondément physiologiques pour restaurer la fonction mitochondriale. Ces approches, connues et documentées par la recherche scientifique, agissent sur les causes profondes du dysfonctionnement mitochondrial sans introduire de substances exogènes dans l’organisme. Elles permettent de stimuler les capacités d’autorégénération du corps en lui offrant simplement les conditions favorables à son bon fonctionnement.
L’exercice physique régulier constitue l’un des moyens les plus puissants pour stimuler la biogenèse mitochondriale. Lorsque nous sollicitons nos muscles, particulièrement lors d’exercices d’endurance ou d’entraînements par intervalles, nous envoyons un signal à nos cellules pour qu’elles produisent de nouvelles mitochondries et améliorent l’efficacité de celles qui existent déjà. Cette activité physique augmente la capacité des cellules à brûler le glucose et à produire de l’énergie de façon optimale. De plus, les muscles actifs entrent en compétition avec les cellules cancéreuses pour la captation du glucose, créant une pression métabolique qui limite la disponibilité de ce carburant pour la prolifération tumorale.
Vivre au grand air et passer du temps dans la nature offre également des bénéfices considérables pour la santé mitochondriale. L’air pur, chargé en ions négatifs et enrichi par les composés volatils émis par la végétation, favorise une oxygénation optimale des tissus. Les mitochondries ont besoin d’oxygène pour fonctionner correctement, et un environnement naturel procure cet oxygène sous sa forme la plus biodisponible. De plus, le contact avec la nature réduit le stress chronique, facteur majeur de dysfonctionnement mitochondrial. La diminution du cortisol et des hormones de stress permet aux cellules de retrouver un métabolisme équilibré.
L’exposition au soleil joue un rôle particulièrement fascinant dans la restauration mitochondriale. Les mitochondries possèdent des photorécepteurs capables de capter les photons de la lumière solaire, notamment dans les longueurs d’onde rouge et infrarouge. Ce phénomène de photobiomodulation stimule directement la production d’ATP en activant la cytochrome c oxydase, une enzyme clé de la respiration mitochondriale. La lumière solaire améliore ainsi la capacité des mitochondries à brûler le glucose et à produire de l’énergie, tout en réduisant le stress oxydatif. Une exposition modérée au soleil, particulièrement le matin, contribue donc naturellement à la revitalisation des mitochondries défaillantes.
Une alimentation vivante, riche en antioxydants naturels et dépourvue de toxiques, protège et nourrit les mitochondries. Les légumes colorés, les fruits frais, les noix et les graines apportent des nutriments essentiels comme les vitamines B, la coenzyme Q10, les oméga-3 et de nombreux antioxydants qui soutiennent le fonctionnement mitochondrial. Le glutathion, principal antioxydant intracellulaire, peut être renforcé par une alimentation appropriée, protégeant ainsi les mitochondries du stress oxydatif. En évitant les produits transformés, les pesticides et les additifs chimiques, on épargne aux mitochondries un travail de détoxification épuisant qui compromet leur fonction énergétique.
Enfin, un sommeil profond dans un environnement calme et sombre constitue un pilier fondamental de la régénération mitochondriale. C’est pendant les phases de sommeil profond que se déroulent les processus de réparation cellulaire les plus importants. Les mitochondries endommagées sont éliminées par un processus appelé mitophagie, tandis que de nouvelles mitochondries saines sont synthétisées. La mélatonine, hormone du sommeil sécrétée dans l’obscurité, protège directement les mitochondries et favorise leur régénération. Un sommeil de qualité, dans un lieu exempt de nuisances sonores et de pollution lumineuse, permet donc aux cellules de restaurer leur capacité énergétique.
Ces approches naturelles présentent plusieurs avantages considérables par rapport aux traitements médicamenteux, aussi innovants soient-ils. Elles sont totalement dépourvues d’effets secondaires indésirables. Elles agissent de manière globale sur l’ensemble de l’organisme et non seulement sur la tumeur. Elles renforcent simultanément tous les systèmes du corps : immunitaire, nerveux, hormonal, cardiovasculaire. Elles sont accessibles à tous, sans prescription médicale ni frais importants. Et surtout, elles respectent profondément la physiologie humaine en stimulant les capacités d’autorégulation et d’autoguérison du corps.
Au centre ¡Viva la Vida!, c’est précisément cette approche holistique qui est mise en œuvre pour accompagner les enfants atteints par le cancer vers la régénération naturelle de leur santé. Plutôt que d’utiliser les produits proposés par Laurent Schwartz, aussi intéressants soient-ils, nous privilégions ces moyens encore plus naturels et encore plus puissants. Nous créons un environnement cancérifuge où l’exercice physique quotidien, la vie au grand air dans les montagnes boliviennes, l’exposition au soleil généreux des tropiques, une alimentation vivante issue de nos jardins permaculturels et un repos profond dans le calme de la nature se conjuguent pour offrir aux cellules les conditions optimales de leur régénération.
Conclusion : Une compréhension globale du cancer vu comme une maladie énergétique réversible
Les travaux de Laurent Schwartz représentent une contribution majeure à la compréhension métabolique du cancer. En s’appuyant sur les découvertes d’Otto Warburg et en les approfondissant grâce à une approche scientifique pluridisciplinaire, il a démontré que le cancer n’est pas cette maladie mystérieuse et invincible que l’on nous présente. C’est une maladie du métabolisme cellulaire, une fermentation causée par des mitochondries défaillantes, donc une maladie potentiellement réversible si l’on parvient à restaurer le fonctionnement énergétique des cellules. Cette vision ouvre des perspectives thérapeutiques fondées sur la correction métabolique plutôt que sur la destruction massive des cellules.
Au-delà des substances qu’il propose, Laurent Schwartz nous rappelle une vérité essentielle : le cancer est avant tout une maladie énergétique qui appelle une réponse énergétique. Les moyens les plus naturels pour restaurer cette énergie cellulaire existent et sont à la portée de tous. En offrant au corps des conditions de vie cancérifuges, nous stimulons ses extraordinaires capacités d’autorégulation et de régénération. Cette approche respectueuse et holistique constitue le fondement même de la démarche du centre ¡Viva la Vida! pour accompagner les enfants cancéreux vers la guérison naturelle de leur santé.


« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.
Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.
En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »
Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.
Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :
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La chaîne YouTube Centre ¡VIVA LA VIDA! – français présente des vidéos éducatives et de sensibilisation sur le cancer de l’enfant :
La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :
Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.
Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.
Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.
Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.
Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.
Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »













