Pour Construire Un Monde Nouveau Gouverné Par L Amour
Vert Pour Les Titres

Centre ¡ Viva la Vida !

Pour offrir aux enfants cancéreux une régénération naturelle de leur santé avec tout le Respect et l’Amour qu’ils méritent

Logo Viva La Vida
Pourpre travaux et ouvrages

Approches naturelles du cancer par des scientifiques

Les recherches d’André Gernez sur la biologie du cancer

Le médecin visionnaire qui a montré que la régénération cellulaire pouvait prévenir et guérir le cancer

André Gernez est un médecin français qui a bouleversé la compréhension du cancer au XXe siècle. Il a osé faire ce que peu de ses collègues ont tenté : remettre en question les fondements mêmes de ce qu’on croyait savoir sur la biologie cellulaire et la cancérogenèse. Ses recherches, menées pendant plusieurs décennies, n’ont pas cherché à « combattre » le cancer par des moyens violents. Au contraire, son approche innovante consistait à comprendre pourquoi le cancer se formait et comment faire pour le faire disparaître de façon naturelle en suivant les lois naturelles qui gouvernent la vie cellulaire.


1. Un esprit libre et brillant face aux dogmes de la biologie cellulaire

André Gernez manifeste dès son enfance une intelligence remarquable. À 15 ans, il obtient son baccalauréat. À 22 ans, en 1945, il devient le plus jeune médecin diplômé de France. Cette précocité n’est pas simplement le signe d’une capacité intellectuelle exceptionnelle, mais révèle une nature profonde : celle d’un esprit libre, curieux, capable de voir au-delà des conventions établies.

En 1944, il est reçu comme assistant à la prestigieuse Fondation Curie, l’institut français de référence pour la recherche sur le cancer. À cette époque, la médecine est dominée par l’idée pasteurienne : le cancer serait le résultat d’une agression, présumée virale, qui finirait par déborder la défense immunitaire de l’organisme. Les équipes de recherche s’acharnent donc à isoler ce fameux virus du cancer, avec l’espoir de mettre au point un vaccin anticancéreux.

Mais André Gernez observe quelque chose qui le trouble profondément. Au microscope, il constate que les personnes atteintes de cancer ne présentent aucune déficience de leur système immunitaire. Mieux encore : les cellules cancéreuses migrent préférentiellement par la voie lymphatique — précisément le lieu où devraient se produire les mécanismes de réaction immunitaire. Or, il n’observe aucun mécanisme de défense, aucune réaction. C’est comme si les cellules cancéreuses avaient conclu un « pacte de non-agression » avec le système immunitaire.

Cette observation le conduit à une conclusion radicale : la démarche pasteurienne ne correspond pas à la réalité des faits observés. Les pasteuriens n’ont produit aucune preuve démontrant que le cancer est un processus réactionnel de l’organisme à une agression extérieure. André Gernez réalise que tout ce qu’il fait à la Fondation Curie n’a aucun sens et qu’il est vain de chercher le virus du cancer.

Il comprend alors qu’il faut adopter une autre stratégie, celle qui lui paraît adéquate et logique : l’approche homéostatique correspondant au maintien des constantes biologiques définie par Claude Bernard, le fondateur de la médecine expérimentale. Selon Claude Bernard, la santé repose sur la stabilité du « milieu intérieur » — cet ensemble de conditions internes (sang, lymphe, liquides) qui doivent rester constantes pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme. Le terrain biologique détermine la susceptibilité ou la résistance aux maladies.

En 1946, Gernez quitte la Fondation Curie. Il part effectuer un stage au Radcliff Hospital d’Oxford où il étudie une affection précancéreuse de la gorge, le syndrome de Plummer-Vinson — une forme d’anémie hypochrome qui prédispose au cancer. Il poursuit cette étude au Karolinska Sjukhuset en Suède, puis en 1948 à New York.

C’est durant ces années d’observation clinique qu’il fait une découverte capitale : les cellules dégénérées du syndrome de Plummer-Vinson peuvent disparaître à partir du moment où on supprime les conditions qui ont permis leur apparition. Cette observation contredit le dogme médical de l’époque selon lequel il faut absolument détruire jusqu’à la « dernière cellule cancéreuse », sinon le processus recommence.

De retour en France, il publie en 1949 une mise au point très remarquée sur cette maladie dans la presse médicale. Il acquiert alors la conviction profonde que le problème du cancer doit être repensé en partant d’une nouvelle base biologique et que certains dogmes admis et considérés comme inattaquables doivent être remplacés par d’autres raisonnements plus en cohérence avec les phénomènes observés.erchait simplement la vérité, armé de la rigueur et de l’humilité que seul un véritable scientifique possède.

Portrait de andré gernez

2. La théorie des cellules souches et la correction du dogme de Bichat

André Gernez repart du point de départ : à l’origine, le cancer démarre dans une seule cellule mutante qui ne fonctionne plus comme les cellules du clone cellulaire dont elle est issue. Le problème qu’il se pose est d’expliquer pourquoi cette cellule mutante survit et n’est pas éliminée par l’organisme.

C’est là qu’il identifie une erreur fondamentale dans la théorie cellulaire classique établie par Bichat au XIXe siècle. Selon Bichat, toutes les cellules passent par deux phases : une phase génératrice au cours de laquelle elles se divisent en deux cellules filles, puis une phase fonctionnelle au cours de laquelle elles remplissent les fonctions qui leur sont attribuées.

Gernez démontre que ce modèle est incorrect. En observant minutieusement les cellules au microscope, il constate une évidence que personne n’avait formalisée : les cellules génératrices et les cellules fonctionnelles ne sont pas de la même nature. Dans des conditions normales, une cellule génératrice — ce qu’on appelle aujourd’hui une cellule souche — se divise en deux cellules filles, mais ces deux cellules n’ont pas le même destin. L’une remplace la cellule génératrice mère et conserve la capacité de se diviser. L’autre devient une cellule fonctionnelle, spécialisée dans une tâche précise (filtrer le sang pour une cellule rénale, transporter l’oxygène pour un globule rouge, etc.), mais elle perd définitivement la capacité de se reproduire. Elle devient stérile.

Gernez utilise une analogie frappante : dans une ruche d’abeilles, seule la reine se reproduit, tandis que les ouvrières sont stériles mais assurent toutes les fonctions de la colonie. De la même manière, dans un tissu sain, seules les cellules souches peuvent se diviser, tandis que les cellules fonctionnelles travaillent mais ne se reproduisent jamais.

Ce processus permet un maintien constant de la masse des populations cellulaires dans les tissus sains. Chaque jour, des cellules fonctionnelles meurent naturellement (apoptose), et des cellules souches se divisent pour les remplacer. C’est un équilibre parfait, régulé avec une précision remarquable.

Mais que se passe-t-il lorsqu’un cancer se développe ? Gernez identifie le mécanisme précis : une cellule souche mutante, au lieu de se diviser en une cellule génératrice et une cellule fonctionnelle, donne naissance à deux cellules génératrices. Ces deux cellules vont à leur tour se diviser en deux cellules génératrices chacune, donnant 4 cellules, puis 8, puis 16, puis 32, et ainsi de suite. C’est cette prolifération à croissance exponentielle qui caractérise le cancer.

Cette découverte capitale permet de comprendre pourquoi le cancer se développe si rapidement une fois qu’il a franchi un certain seuil. Au stade de la toute première division cellulaire, ce phénomène anormal n’est pas détectable. On ne peut pas encore parler de cancer cliniquement identifiable. Mais le processus est déjà enclenché.

En publiant ces conclusions en 1949, à seulement 26 ans, Gernez propose ce qu’il appelle « la théorie unifiée du cancer ». Mais la plupart des médecins, habitués à raisonner selon les anciens dogmes, refusent de comprendre cette nouvelle théorie. Elle bouleverse trop radicalement ce qu’on croyait savoir sur la division cellulaire.


3. Une compréhension fine des lois naturelles du corps : le cancer considéré comme une réponse biologique à un déséquilibre

La grande intuition de Gernez ne s’arrête pas à la compréhension du mécanisme de prolifération cellulaire. Il va plus loin en posant une question fondamentale : pourquoi cette cellule mutante survit-elle ? Pourquoi l’organisme ne l’élimine-t-il pas immédiatement ?

Sa réponse révolutionne la compréhension du cancer. Selon lui, le cancer correspond à une « hyperplasie compensatrice ». Ce terme technique signifie que le cancer n’est pas un phénomène anarchique, une prolifération désordonnée survenant par hasard. C’est au contraire une réponse biologique à un déséquilibre profond de l’organisme.

Gernez explique qu’un groupe de cellules saines qui se trouvent en insuffisance — incapables de faire face à leurs obligations fonctionnelles — a recours à des cellules anormales mutées dont le destin normal est d’être récessives et de disparaître. Mais dans des conditions particulières, exceptionnelles, ces cellules mutantes peuvent devenir dominantes.

Il utilise une métaphore militaire frappante : une population cellulaire devenue incapable de faire face à ses obligations fonctionnelles mobilise des individus cellulaires tarés, « les mutants » (invivables dans des conditions normales), de la même manière qu’une armée décimée ou confrontée à un ennemi supérieur en nombre incorpore des soldats peu valides, des réservistes, des blessés — n’importe qui pour tenir la ligne.

Cette vision change radicalement la compréhension du cancer. Il ne s’agit plus d’un ennemi extérieur qui envahit le corps, mais d’une tentative désespérée du corps lui-même pour compenser une défaillance. Le cancer n’est pas le problème initial. Il est la manifestation visible d’un malaise plus profond, d’un déséquilibre dans le terrain biologique.

Cette perspective rejoint parfaitement les travaux d’Otto Warburg, prix Nobel de médecine en 1931, qui avait montré que les cellules cancéreuses présentent un métabolisme particulier : elles dépendent massivement du glucose et préfèrent la glycolyse anaérobie — un mode de production d’énergie primitif, inefficace, qui produit beaucoup d’acide lactique — même en présence d’oxygène. Warburg avait conclu que le cancer était lié à un dysfonctionnement métabolique des cellules.

Gernez va plus loin en expliquant pourquoi ce dysfonctionnement survient et surtout comment l’organisme peut le corriger. Il fait une observation cruciale : une cellule mutante n’est pas résistante. Au contraire, elle est fragile, instable et vulnérable à la moindre modification de son biotope. Un milieu acide la détruit facilement.

C’est ici que se manifeste le génie de sa compréhension. Si les cellules cancéreuses sont fragiles et dépendantes du glucose, alors il suffit de créer les conditions métaboliques qui les privent de leur carburant et qui rendent leur environnement hostile. Comment ? Par le jeûne séquentiel et la restriction calorique stratégique.

Le jeûne appauvrit dramatiquement la disponibilité du glucose sanguin et force le corps à basculer vers un métabolisme alternatif : la cétose. Dans cet état, le foie produit des corps cétoniques à partir des réserves graisseuses. Les cellules saines du corps peuvent fonctionner avec ces corps cétoniques. Mais les cellules cancéreuses, rigides et dépendantes du glucose, ne possèdent pas cette flexibilité métabolique. Sans leur carburant, elles sont littéralement asphyxiées sur le plan métabolique.

De plus, le jeûne crée une acidose contrôlée du milieu sanguin — exactement ce qui détruit les cellules mutantes fragiles. Cette acidose n’est pas toxique pour les cellules saines. Elle est au contraire bénéfique car elle active les mécanismes naturels de réparation et de régénération cellulaire — ce qu’on appelle aujourd’hui l’autophagie, processus pour lequel le chercheur japonais Yoshinori Ohsumi a reçu le prix Nobel en 2016.

Gernez élabore alors un protocole de prévention active basé sur des jeûnes annuels ou biannuels de courte durée, complétés par une alimentation riche en vitamines et minéraux antioxydants issus des fruits et légumes. Son objectif : réduire la prolifération des cellules souches cancéreuses avant qu’elles n’atteignent un seuil irréversible, tout en maintenant le terrain biologique dans un état défavorable au développement du cancer.

Cette approche ne cherche pas à « faire la guerre » au cancer, mais à restaurer les conditions naturelles de santé cellulaire. Ce n’est pas une médecine de destruction, mais une médecine de régénération.


4. Le cancer vu comme un processus évitable — une vision nouvelle validée scientifiquement et convergente avec d’autres découvertes

La conclusion logique de la pensée de André Gernez est radicale : le cancer n’est pas une fatalité. Il n’arrive pas par malchance génétique ou par tirage au sort biologique. Il est le résultat prévisible — et donc évitable — d’une accumulation de facteurs cancérigènes, c’est-à-dire de tous ces éléments qui dérèglent progressivement le cycle naturel de régénération cellulaire : pollution, stress chronique, alimentation dénaturée, sédentarité, manque de sommeil, exposition aux toxines chimiques, traumatismes émotionnels non résolus.

En 1971, une étude de l’INSERM confirme la théorie de Gernez et conclut que le cancer pourrait être évité dans environ 93 % des cas grâce à une prévention active basée sur le contrôle des mécanismes biologiques qu’il avait mis en lumière. Cette validation scientifique aurait dû révolutionner la lutte contre le cancer. Elle aurait dû conduire à la mise en place de protocoles de prévention à grande échelle.

Mais cette validation crée paradoxalement un problème. Selon les calculs effectués par le ministère de la Santé français, l’application généralisée du protocole de Gernez aurait prolongé l’espérance de vie moyenne des Français d’environ sept ans. Cette prolongation massive de la vie aurait créé des contraintes considérables en termes de structures d’accueil pour les personnes âgées, de financement des retraites, de réorganisation du système de santé. Des raisons économiques, politiques et structurelles ont freiné la diffusion de ces découvertes.

En 1979, André Gernez reçoit la médaille Hans Adalbert Schweigart de l’Union mondiale pour la protection de la vie, remise par Linus Pauling, double prix Nobel. Cette reconnaissance internationale valide la rigueur de ses travaux. Mais à ce stade, un barrage infranchissable s’est déjà formé autour de ses découvertes, y compris à l’étranger. Malgré des résultats parfaitement probants, Gernez n’arrive plus à se faire entendre.

Pourtant, ses idées trouvent une confirmation spectaculaire chez d’autres chercheurs travaillant en parallèle. Jean-Pierre Willem, médecin et anthropologue, étudie les peuples sans cancer — ces populations traditionnelles qui vivaient selon des modes de vie proches de la nature et ignoraient le cancer comme maladie. Dans son livre « Le secret des peuples sans cancer », Willem constate que dans ces sociétés, l’absence de cancer n’est pas due à une immunité génétique mystérieuse, mais simplement à un mode de vie systématiquement cancérifuge : alimentation non transformée, rythmes naturels respectés, absence de stress chronique, absence de pollution chimique massive, connexion profonde à la nature, jeûnes réguliers intégrés aux traditions.

Ces peuples vivaient, sans le savoir explicitement, selon exactement les principes que Gernez avait scientifiquement identifiés. Cette convergence entre la pensée rigoureuse de Gernez et l’observation anthropologique de Willem crée une certitude : il n’existe rien de fatal dans le cancer. C’est une maladie de civilisation, au sens littéral — une maladie qui émerge quand une civilisation s’éloigne des lois naturelles qui gouvernent la vie cellulaire.

De même, les travaux de Louis-Claude Vincent sur la bioélectronique confirment cette vision. Vincent a montré que le cancer se développe dans un terrain biologique spécifique, caractérisé par certaines constantes électrochimiques (pH, potentiel redox, résistivité). En modifiant ce terrain par l’alimentation, l’hydratation et le mode de vie, on peut créer un environnement défavorable au cancer. Les découvertes de Vincent et de Gernez se rejoignent parfaitement : le terrain détermine tout.

Vers la fin de sa vie, André Gernez affirmera à plusieurs reprises que si ses découvertes avaient été prises au sérieux dès les années 1980, la montée actuelle de « l’épidémie » de cancer aurait pu être largement évitée. Il qualifiera cette situation de « scandale du siècle », soulignant que ses propositions auraient pu changer radicalement le paysage médical et sanitaire mondial, mais ont été ignorées ou rejetées pour des raisons autres que purement scientifiques.


5. La mise en pratique pour prévenir et accompagner naturellement la guérison du cancer

Les principes de André Gernez ne sont pas restés enfermés dans les pages de revues scientifiques ou les discours académiques. Ils offrent des outils pratiques et concrets que chacun peut mettre en œuvre.

Pour la prévention active chez les personnes en bonne santé, les enseignements de Gernez se traduisent simplement : établir et maintenir un mode de vie cancérifuge. Cela signifie cultiver régulièrement des périodes de jeûne séquentiel ou de restriction calorique appropriée à l’âge et à la condition physique, maintenir une alimentation basée sur des aliments vivants et non transformés, assurer un sommeil régulier et réparateur, pratiquer la respiration profonde et l’activité physique modérée, minimiser l’exposition aux toxines environnementales, et créer des espaces de calme émotionnel dans une vie moderne nécessairement stressante.

Pour les personnes déjà diagnostiquées avec un cancer, les principes de Gernez offrent un cadre d’accompagnement transformateur. Au lieu de soumettre le corps à des traitements chimiquement violents qui créent un stress physiologique majeur et endommagent les mécanismes naturels de régénération, on peut mettre en place un protocole doux mais puissant : correction progressive du métabolisme par le jeûne séquentiel adapté, nutrition ultra-qualitative pour restaurer le terrain biologique, repos profond pour permettre à l’autophagie et aux mécanismes de réparation d’opérer, élimination systématique des facteurs cancérigènes de l’environnement.

L’actualité scientifique moderne valide complètement cette approche. Les découvertes récentes sur l’autophagie confirment exactement ce que Gernez avait intuité : le jeûne active un processus de « nettoyage cellulaire » extraordinairement puissant, permettant au corps d’éliminer les cellules dysfonctionnelles et de régénérer le tissu sain. De même, les études contemporaines sur le métabolisme cancéreux et le rôle du glucose confirment les observations de Warburg et de Gernez. Les travaux sur la médecine régénérative et la résilience cellulaire ne font que formaliser en langage moderne ce que Gernez comprenait intuitivement : le corps possède une capacité de guérison extraordinaire si nous respectons ses lois naturelles.

Ce qui rend particulièrement pertinents les enseignements de Gernez aujourd’hui, c’est leur universalité. Les lois de la régénération cellulaire ne changent pas avec le temps ou la géographie. Un enfant en Bolivie, en France ou en Afrique possède exactement le même équipement biologique, le même potentiel de guérison, les mêmes besoins de régénération.

C’est précisément sur ces principes universels que repose le travail du centre ¡Viva la Vida! en Bolivie. Ce centre offre aux enfants atteints de cancer un environnement où les lois naturelles — celles que Gernez a scientifiquement élucidées — peuvent opérer sans entrave. Au lieu de plonger l’enfant dans une mentalité de guerre contre son propre corps, au lieu de lui administrer des traitements qui déséquilibrent encore davantage son organisme, le centre crée les conditions favorables à la régénération : alimentation vivante, repos profond, contact avec la nature, accompagnement émotionnel bienveillant, jeûnes thérapeutiques adaptés, élimination des facteurs cancérigènes.

Cette approche reconnaît que le cancer n’est pas un ennemi à combattre, mais un signal d’alarme indiquant que le terrain biologique a besoin d’être rééquilibré. Les véritables ennemis sont les facteurs cancérigènes qui ont perturbé ce terrain : stress, pollution, alimentation dénaturée, traumatismes émotionnels. En offrant à l’enfant et à sa maman les connaissances et les outils pour éliminer ces facteurs et restaurer un mode de vie cancérifuge, le centre leur redonne le pouvoir sur leur santé.

Cette vision, loin d’être naïve ou simpliste, s’appuie sur des décennies de recherche scientifique rigoureuse, sur les observations cliniques de chercheurs comme Gernez, Warburg, Vincent et Willem, et sur les validations contemporaines de la science moderne concernant l’autophagie, le métabolisme cellulaire et la médecine régénérative.


Conclusion : une alternative concrète à la lutte contre le cancer

André Gernez nous a légué bien plus qu’une collection de données biologiques ou une théorie scientifique supplémentaire. Il nous a ouvert une voie révolutionnaire : celle de la prévention active et du traitement naturel du cancer, basés non sur la « lutte » violente mais sur le respect profond des lois de la vie.

En identifiant les cellules souches comme origines du cancer, en corrigeant le dogme erroné de Bichat sur la division cellulaire, en montrant que le cancer résulte d’une hyperplasie compensatrice plutôt que d’une anarchie cellulaire, il a transformé notre compréhension même de cette maladie. Elle n’est pas un ennemi tombé du ciel. Elle est une conséquence logique d’un déséquilibre du terrain biologique, et donc systématiquement évitable et réversible.

Son observation cruciale — que les cellules cancéreuses sont fragiles et vulnérables à un milieu acide — ouvre la porte au protocole de jeûne séquentiel et de régénération cellulaire respectueuse. Sa validation par l’INSERM en 1971 et sa reconnaissance internationale en 1979 attestent de la rigueur de ses travaux. Sa convergence avec les découvertes de Warburg sur le métabolisme, de Vincent sur la bioélectronique, et de Willem sur les peuples sans cancer, démontre l’universalité de ses principes.

Gernez nous a montré que ce qui semble miraculeux — la guérison naturelle du cancer — est en réalité profondément logique, profondément naturel. Il nous a enseigné que le corps possède en lui une sagesse innée de régénération, à condition qu’on lui offre les conditions appropriées. Et c’est cette logique, cette naturalité même, qui constitue notre espoir le plus solide.


3 coeurs pourpre travaux et ouvrages

Pourpre travaux et ouvrages

« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.

Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.

En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »


Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :



Page de couverture du guide de présentation du centre viva la vida

Page de couverture du guide de présentation du centre viva la vida


Par ailleurs, pour aller plus loin et comprendre sur quoi se base le centre ¡Viva la Vida! pour réaliser sa mission au service des enfants atteints par le cancer, je vous invite vivement à :





Voici une liste d’articles passionnants et probants sur les APPROCHES NATURELLES DU CANCER PAR DES SCIENTIFIQUES :



Banderole 3 logos du centre viva la vida

La chaîne YouTube Centre ¡VIVA LA VIDA! – français présente des vidéos éducatives et de sensibilisation sur le cancer de l’enfant :



Logo Youtube
Chaîne Youtube Centre Viva La Vida Français


La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :



Logo facebook
Page facebook centre viva la vida


Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.


Logo facebook
Groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE


Vert Pour Les Titres


« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.

Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.

Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.

Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.

Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.

Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »


Banderole 3 logos pangaia love abundancia