

Centre ¡ Viva la Vida !
Pour offrir aux enfants cancéreux une régénération naturelle de leur santé avec tout le Respect et l’Amour qu’ils méritent


Approches naturelles du cancer par des scientifiques
Les recherches d’André Gernez sur la biologie du cancer
Le médecin visionnaire qui a montré que la régénération cellulaire pouvait prévenir et guérir le cancer
André Gernez est l’une de ces figures scientifiques que l’histoire retient rarement, bien qu’elle aurait dû les placer au cœur des apprentissages médicaux. Ce médecin français, devenu l’un des esprits les plus pénétrants du XXe siècle en matière de biologie cellulaire, a osé faire ce que peu de ses collègues ont tenté : remettre en question les fondements mêmes de ce qu’on croyait savoir sur le cancer. Ses recherches, menées pendant plusieurs décennies, n’ont pas cherché à « combattre » le cancer par des moyens violents, mais plutôt à comprendre les lois naturelles qui gouvernent la vie cellulaire pour les respecter et les utiliser. Cette approche radicalement différente le place parmi les pionniers essentiels qui ont ouvert une voie vers la prévention et la guérison naturelles du cancer — une voie que notre centre ¡Viva la Vida ! emprunte avec conviction aujourd’hui.
Partie 1 : Un esprit libre face aux dogmes de la biologie cellulaire
André Gernez n’était pas un scientifique ordinaire. Dès son enfance, il s’était distingué par une précocité remarquable : bachelier à l’âge de 15 ans, il devint l’un des plus jeunes médecins diplômés de son époque. Ce n’était pas là simplement une question de rapidité intellectuelle, mais révélateur d’une certaine nature : celle d’un esprit curieux, indépendant, capable de voir au-delà des conventions établies.
À une époque où la biologie cellulaire reposait sur des dogmes considérés comme intangibles — notamment l’idée que les cellules pouvaient se diviser indéfiniment et sans limite — Gernez posa une question dérangeante : et si ces dogmes étaient faux ? Et si la division cellulaire obéissait à des lois bien plus précises et bien plus ordonnées qu’on ne le pensait ?
Cette remise en question n’était pas le fruit d’une simple rébellion intellectuelle. Elle s’appuyait sur l’observation rigoureuse et sur une logique biologique impeccable. Gernez comprit qu’il existait une contradiction fondamentale entre ce qu’on enseignait et ce que la nature montrait réellement. Les cellules, dans leur sagesse biologique, ne se comportaient pas comme des machines sans contrôle. Elles obéissaient à des rhythmes, à des cycles, à des régulations d’une subtilité et d’une précision remarquables. Le cancer, selon lui, n’était pas une « maladie » au sens classique du terme — une agression extérieure ou une dégénérescence aléatoire — mais plutôt la manifestation visible d’un dérèglement dans ces cycles naturels de régénération.
Cette perspective révolutionnaire le plaça d’emblée en porte-à-faux avec l’orthodoxie médicale. Mais Gernez ne cherchait pas la controverse pour elle-même. Il cherchait simplement la vérité, armé de la rigueur et de l’humilité que seul un véritable scientifique possède.

Partie 2 : La théorie des cellules souches et leur rôle dans la cancérogenèse
Au cœur des découvertes de Gernez se trouve une intuition géniale : l’identification des cellules souches comme point d’origine du cancer. Cette affirmation peut sembler banale pour le lecteur contemporain, habitué à entendre parler de cellules souches dans les médias. Mais dans le contexte des années 1960-1970, c’était une révolution conceptuelle.
Gernez observa que chaque tissu du corps humain possède ses propres cellules souches — des cellules dotées d’une capacité de division particulière, chargées de maintenir l’intégrité et la jeunesse du tissu par un processus continu de régénération. Ces cellules ne se divisent pas n’importe comment ni n’importe quand. Elles obéissent à un programme de renouvellement régulé, précis, cyclique. Gernez appela ce phénomène le « déterminisme cellulaire ».
L’originalité de sa pensée réside dans ce qu’il découvrit ensuite : le cancer naît précisément quand ce déterminisme se dérègle. Lorsque les cellules souches perdent leur cohérence, lorsque les signaux de régulation se brouillent, lorsque le cycle naturel de mort et de renouvellement cellulaire s’effondre, alors émerge une multiplication désordonnée — ce qu’on appelle le cancer.
Mais ce qui distingue réellement Gernez des biologistes de son époque, c’est qu’il alla plus loin encore. Il ne se contenta pas de dire « le cancer, c’est de la multiplication cellulaire désordonnée » — une tautologie que tout le monde connaissait déjà. Il posa la question fondamentale : pourquoi ce désordre apparaît-il ? Qu’est-ce qui rompt l’harmonie du déterminisme cellulaire ?
Sa réponse ouvrit un horizon entièrement nouveau. Le déséquilibre entre la destruction cellulaire et la régénération cellulaire — voilà le point critique. Normalement, dans un tissu sain, il existe un équilibre parfait : chaque jour, certaines cellules meurent (c’est l’apoptose naturelle), et d’autres naissent pour les remplacer. Ce système fonctionne comme une horloge. Mais que se passe-t-il si cet équilibre se brise ? Si la régénération s’accélère anormalement ? Si les signaux d’arrêt deviennent inaudibles ?
C’est précisément dans cette fissure qu’apparaît le cancer. Non pas comme une maladie tombée du ciel, mais comme la conséquence logique et prévisible d’un déséquilibre biologique. Et cette découverte cruciale ouvrait une porte immense : si le cancer résulte d’un déséquilibre spécifique, alors il devient théoriquement possible de prévenir cet déséquilibre — ou de le corriger une fois apparu.
Partie 3 : Une compréhension fine des lois naturelles du corps
La théorie, c’est important. Mais Gernez ne s’arrêta pas à la théorie. Il fit ce que peu de chercheurs font : il chercha les moyens concrets de mettre ses découvertes au service de la santé. Et c’est là qu’émergit son protocole de prévention et de guérison — un protocole remarquablement simple, mais d’une cohérence biologique impeccable.
Gernez comprit que la clé résidait dans le jeûne séquentiel et plus largement dans la restriction calorique stratégique. Pourquoi ? Parce qu’il saisit quelque chose de fondamental : les cellules cancéreuses naissantes sont dépendantes du glucose pour leur prolifération anarchique. Cette observation, bien sûr, résonnait directement avec les découvertes parallèles d’Otto Warburg, qui avait montré que les cellules cancéreuses préfèrent la glycolyse anaérobie — un métabolisme basé sur la consommation intensive de glucose — même en présence d’oxygène.
Or, le jeûne séquentiel crée un environnement biochimique précis : il appauvrit dramatiquement la disponibilité du glucose sanguin et force le corps à basculer vers un métabolisme alternatif, la cétose. Dans cet état métabolique, les cellules saines du corps apprennent à fonctionner avec les corps cétoniques (produits par le foie à partir des réserves graisseuses). Mais les cellules cancéreuses naissantes ? Elles ne possèdent pas cette flexibilité métabolique. Elles sont rigides, dépendantes du glucose. Sans ce carburant, elles sont littéralement asphyxiées sur le plan métabolique.
C’est ici que se manifeste le génie du système nerveux biologique. Gernez avait compris que le corps possède une sagesse innée de régénération. En le privant stratégiquement de glucose — non par la famine, mais par le jeûne calculé — on crée les conditions exactes pour que :
- Les cellules saines entrent en mode de réparation et de régénération (ce qu’on appelle aujourd’hui l’autophagie)
- Les cellules malades ou précancéreuses, incapables de survivre sans glucose, meurent naturellement
- Le corps retrouve son équilibre cellulaire — ce déterminisme si précieux que Gernez avait identifié
Mais le jeûne seul n’était pas suffisant dans la vision de Gernez. Il complétait son protocole par d’autres principes inspirés par une compréhension profonde des lois de la vie : le repos cellulaire (sommeil adéquat, réduction du stress), l’oxygénation (respiration profonde, activité physique modérée), l’alimentation vivante (aliments riches en micronutriments, exempts de toxines), et l’élimination systématique des facteurs cancérigènes (pollution, substances chimiques, stress émotionnel chronique).
Sa grande intuition était celle-ci : le cancer ne survient pas par malchance ou par fatalité génétique, mais parce que nous avons cessé de respecter les cycles naturels de régénération cellulaire. La vie moderne — avec ses rythmes effrénés, son alimentation dénaturée, ses toxines omniprésentes, son stress constant — crée un terrain où le déséquilibre cellulaire devient presque inévitable. En retournant consciemment aux lois naturelles, en restaurant les cycles de jeûne et de nutrition, de repos et d’activité, d’oxygénation et de régénération, on recrée les conditions de la santé cellulaire.
Ce n’était pas une nouvelle médecine. C’était, en réalité, le retour à la sagesse ancienne, validée par la biologie moderne et rendue intelligible par le langage scientifique contemporain.
Partie 4 : Le cancer comme processus évitable — une vision nouvelle
La conclusion logique de la pensée de Gernez était radicale : le cancer n’est pas une fatalité. Il n’arrive pas par hasard génétique. Il est le résultat prévisible et donc évitable d’une accumulation de facteurs cancérigènes, c’est-à-dire de tous ces éléments qui dérèglent progressivement le cycle naturel de régénération cellulaire.
Cela signifie que le cancer pourrait théoriquement être anticipé et neutralisé avant même qu’il ne se manifeste cliniquement. C’est une vision prophylactique, non pas curative. C’est une médecine de la prévention active, non passive.
Remarquablement, cette vision de Gernez a trouvé une confirmation spectaculaire chez d’autres chercheurs qui travaillaient en parallèle, sans toujours se connaître. Jean-Pierre Wilhelm, en étudiant les peuples sans cancer — ces populations qui vivaient (ou vivent encore) selon des modes de vie proches de la nature et ignoraient le cancer comme maladie — a découvert une convergence extraordinaire avec les conclusions de Gernez.
Wilhelm constata que dans ces sociétés, l’absence de cancer n’était pas due à une immunité génétique mystérieuse, mais simplement à un mode de vie systématiquement cancérifuge : alimentation non transformée, rythmes naturels respectés, absence de stress chronique, absence de pollution chimique massive, connexion profonde à la nature. Ces peuples vivaient, sans le savoir explicitement, selon exactement les principes que Gernez avait scientifiquement identifiés.
Cette convergence entre la pensée rigoureuse de Gernez et l’observation anthropologique de Wilhelm crée une certitude : il n’existe rien de fatal dans le cancer. C’est une maladie de civilisation, au sens littéral — une maladie qui émerge quand une civilisation s’éloigne des lois naturelles qui gouvernent la vie cellulaire. Et inversement, il est possible de vivre et de vieillir sans cancer, à condition d’établir consciemment les conditions cancérifuges.
Cette perspective change tout. Elle déplace la responsabilité — non pas de manière culpabilisante, mais de manière libératrice. Nous ne sommes pas des victimes passives d’une loterie génétique cruelle. Nous sommes des êtres capables d’influer sur notre biologie cellulaire par les choix que nous faisons chaque jour : comment nous mangeons, comment nous respirons, comment nous reposons, comment nous gérons nos émotions, comment nous interagissons avec notre environnement.
Partie 5 : La mise en pratique pour prévenir et accompagner la guérison naturelle
Les principes de Gernez ne sont pas restés enfermés dans les pages de revues scientifiques ou les discours académiques. Ils offrent des outils pratiques et concrets que chacun — et en particulier les parents d’enfants atteints du cancer — peut mettre en œuvre.
Premièrement, la prévention active. Pour les enfants et les adultes en bonne santé, les enseignements de Gernez se traduisent simplement : établir et maintenir un mode de vie cancérifuge. Cela signifie cultiver régulièrement des périodes de jeûne ou de restriction calorique appropriée à l’âge, maintenir une alimentation basée sur des aliments vivants et non transformés, assurer un sommeil régulier et réparateur, pratiquer la respiration profonde et l’activité physique modérée, minimiser l’exposition aux toxines, et créer des espaces de calme émotionnel dans une vie moderne nécessairement stressante.
Deuxièmement, pour les enfants déjà diagnostiqués avec un cancer, les principes de Gernez offrent un cadre d’accompagnement transformateur. Au lieu de soumettre l’enfant à des traitements chimiquement violents qui créent un stress physiologique majeur et qui, souvent, endommagent les mécanismes naturels de régénération, on peut mettre en place un protocole doux mais puissant : correction progressive du métabolisme (par le jeûne séquentiel adapté à l’enfant), nutrition ultra-qualitative pour restaurer le terrain biologique, repos profond pour permettre à l’autophagie et aux mécanismes de réparation d’opérer, et élimination systématique des facteurs cancérigènes de l’environnement (alimentation transformée, pollution, stress familial).
L’actualité scientifique moderne valide complètement cette approche. Les découvertes récentes sur l’autophagie (pour lequel Yoshinori Ohsumi a reçu le prix Nobel) confirment exactement ce que Gernez avait intuité : le jeûne active un processus de « nettoyage cellulaire » extraordinairement puissant, permettant au corps d’éliminer les cellules dysfonctionnelles et de régénérer le tissu sain. De même, les études modernes sur le métabolisme cancéreux et le rôle du glucose confirment les observations de Warburg. Enfin, les travaux contemporains sur la médecine régénérative et la résilience cellulaire ne font que formaliser en langage moderne ce que Gernez comprenait intuitivement : le corps possède une capacité de guérison extraordinaire si nous respectons ses lois naturelles.
Ce qui rend particulièrement pertinents les enseignements de Gernez aujourd’hui, c’est leur universalité. Les lois de la régénération cellulaire ne changent pas avec le temps ou la géographie. Un enfant en Bolivie, en France ou en Afrique possède exactement le même équipement biologique, le même potentiel de guérison, les mêmes besoins de régénération. Et c’est précisément sur ces principes universels que repose le centre ¡Viva la Vida ! : créer un environnement où les lois naturelles — celles que Gernez a scientifiquement élucidées — peuvent opérer sans entrave, où un enfant atteint du cancer peut réellement retrouver la santé par le respect de sa biologie innée.
Conclusion
André Gernez nous a légué bien plus qu’une collection de données biologiques ou une théorie scientifique supplémentaire. Il nous a ouvert une voie révolutionnaire : celle de la prévention active et du traitement naturel du cancer, basés non sur la « lutte » violente mais sur le respect profond des lois de la vie.
En identifiant les cellules souches comme origines du cancer et en montrant que cette dégénérescence résulte d’un déséquilibre spécifique — plutôt que d’une fatalité aléatoire — il a transformé notre compréhension même de cette maladie. Elle n’est pas un ennemi tombé du ciel. Elle est une conséquence logique d’un mode de vie cancérigène, et donc systématiquement évitable et réversible.
Son protocole de jeûne séquentiel, de régénération cellulaire respectueuse, et d’élimination des facteurs cancérigènes offre un chemin lumineux vers la guérison — un chemin que la science contemporaine ne cesse de valider. C’est ce chemin que nous empruntons au centre ¡Viva la Vida !, convaincus que chaque enfant atteint du cancer possède en lui une capacité de régénération extraordinaire, à condition qu’on lui en offre les conditions appropriées.
Gernez nous a montré que ce qui semble miraculeux — la guérison naturelle du cancer — est en réalité profondément logique, profondément naturel. Et c’est cette logique, cette naturalité même, qui constitue notre espoir le plus solide.
Le Docteur André Gernez (1923–2014) était un médecin français iconoclaste, spécialiste en neuropsychiatrie, qui a proposé une vision radicalement nouvelle de la santé. Bachelier dès l’âge de 15 ans, il a présenté sa thèse de médecine à 22 ans, ce qui avait fait de lui le plus jeune médecin de France. Il a ensuite consacré sa vie à remettre en question les fondements de la médecine moderne, en particulier ceux liés à la biologie cellulaire et à la compréhension du cancer. Son travail rigoureux, basé sur des observations cliniques et des raisonnements logiques, l’a conduit à formuler une vision nouvelle et dérangeante : le cancer n’est ni une fatalité ni une erreur du hasard, mais le résultat d’un dysfonctionnement prévisible et évitable dans le cycle cellulaire. Cette approche révolutionnaire, bien que souvent contestée par les institutions médicales, a inspiré de nombreux chercheurs indépendants, thérapeutes alternatifs et défenseurs d’une médecine naturelle.

1. Un chercheur libre face aux dogmes établis
André Gernez a exercé comme médecin en hôpital psychiatrique, mais c’est par ses recherches personnelles qu’il s’est fait connaître. Refusant de se conformer aux dogmes dominants, il a élaboré des théories originales dans plusieurs domaines, avec un seul objectif : prévenir plutôt que guérir, en respectant les lois biologiques naturelles.
Pour lui, « Ce qui compte, c’est le malade, c’est ça le plus important. Si vous sauvez un enfant, vous n’avez pas perdu votre vie. »
André Gernez n’a jamais accepté que la médecine attende l’apparition d’une tumeur pour intervenir. Pour lui, il était illogique et irresponsable de ne s’intéresser au cancer qu’une fois qu’il est visible ou douloureux. Très tôt, il a osé contester l’un des dogmes les plus solides de la biologie cellulaire : l’idée selon laquelle les cellules différenciées peuvent se diviser librement sans danger.
Il affirmait, au contraire, que :
- Une cellule adulte et spécialisée ne doit plus se diviser.
- Lorsqu’elle recommence à se diviser, c’est hors de son rôle — et c’est le point de départ possible d’une cancérisation.
- Cette relance anormale de la division cellulaire est un signal d’alarme biologique, un dérèglement majeur du fonctionnement corporel.
Cette compréhension change tout : le cancer n’est plus une énigme ni une malédiction, mais le résultat d’une erreur évitable dans la gestion du renouvellement cellulaire.
2. La prévention active du cancer
L’une des découvertes majeures du docteur Gernez est l’idée que le cancer peut être prévenu bien avant l’apparition des premiers signes cliniques. Selon lui :
- La plupart des cancers ont une phase préclinique silencieuse de plusieurs années.
- Une cellule tumorale initiale peut exister sans former immédiatement une tumeur. Ainsi, elle ne devient dangereuse que si l’organisme n’intervient pas à temps pour la détruire.
- Il est donc possible, et même logique, de mettre en place une prévention biologique ciblée chaque année, par un protocole de prévention annuelle, impliquant des cures courtes et ciblées (avec des substances naturelles ou douces). Cela permettrait d’éliminer ces cellules tumorales avant qu’elles ne prolifèrent de façon anarchique.
Concrètement, André Gernez a proposé des protocoles simples et peu coûteux, basés sur des substances naturelles ou peu toxiques, capables de stopper l’évolution d’un foyer cancéreux silencieux. Son objectif était de sauver des vies par la prévention réelle, et non par le dépistage tardif. Il parlait d’oncologie prophylactique et dénonçait le fait que la médecine moderne attende l’apparition du cancer pour intervenir, au lieu de l’empêcher de se développer.
3. Une compréhension plus fine du corps et de ses lois naturelles
Dans la vision de André Gernez, la santé repose sur une harmonie cellulaire précise : chaque cellule a un rôle, une durée de vie, et des limites. Contrairement aux dogmes établis de la médecine conventionnelle, André Gernez distingue avec clarté :
- Les cellules souches, capables de se diviser pour renouveler les tissus.
- Les cellules différenciées, qui doivent cesser de se multiplier.
- Les facteurs d’agression (toxines, stress, carences, inflammation) qui peuvent forcer une cellule différenciée à se diviser à nouveau.
Pour lui, c’est là que commence le cancer : dans la transgression silencieuse d’un ordre biologique fondamental. En respectant ces lois naturelles, et en soutenant le corps dans ses fonctions profondes, il devient possible de prévenir le cancer sans violence ni mutilation.
4. Le renouvellement cellulaire et la division contrôlée
Ainsi, le docteur André Gernez a développé une théorie révolutionnaire selon laquelle les cellules de l’organisme, en particulier les cellules différenciées, ne doivent pas se diviser indéfiniment. Selon lui :
- Le corps fonctionne avec un stock limité de cellules souches.
- Une cellule différenciée qui se remet à se diviser est hors de son rôle : c’est souvent le début de la cancérisation.
- Les mitoses incontrôlées (multiplications cellulaires anarchiques) sont le signe d’un déséquilibre profond.
Cela l’a conduit à affirmer que la prévention du cancer passe par la protection de l’architecture cellulaire normale et la réduction des stimuli inutiles à la division (toxines, stress, inflammation…).
5. Une médecine du vivant, inspirée par la logique du corps
Le travail d’André Gernez rejoint, à sa manière, les intuitions d’autres médecins marginaux ou pionniers : Otto Warburg, Geerd Hamer, Michel Odent… Tous ont en commun de redonner à la biologie vivante sa place centrale.
Gernez allait plus loin encore : il proposait que chaque être humain, dès l’âge adulte, puisse faire une cure annuelle de prévention anticancer, pour nettoyer ce qui doit l’être et relancer les forces naturelles de l’organisme. Une médecine douce, logique, respectueuse du corps, et profondément préventive.
6. Des applications pour d’autres maladies dégénératives
Outre le cancer, André Gernez a proposé des théories et des protocoles innovants pour :
- La sclérose en plaques
- La maladie d’Alzheimer
- Certaines maladies génétiques ou du vieillissement
Il insistait sur le rôle central de l’oxygénation cellulaire, de l’équilibre acido-basique, du jeûne, et d’une hygiène de vie cohérente avec la biologie humaine.
7. L’enfant, la naissance et le cerveau
André Gernez s’est aussi intéressé à la croissance du cerveau chez l’enfant, notamment à la prolifération neuronale prénatale et postnatale. Il a défendu :
- L’importance de la naissance sans violence
- L’influence des premières années sur le développement cérébral
- Le rôle fondamental de l’amour maternel et du lien affectif dans la santé future
Ces vues rejoignent celles de chercheurs comme Michel Odent, Frédérick Leboyer ou encore le Dr Hamer.
8. Un homme ignoré par l’institution, mais salué par des pairs indépendants
Malgré la cohérence de ses travaux et leur fondement scientifique, André Gernez a été a été tenu à l’écart du monde académique et marginalisé par les institutions médicales. Ainsi, il n’a jamais été invité dans les grands congrès, car ses propositions ont été jugées trop dérangeantes.Cependant, cela ne l’a jamais empêché de continuer à publier, alerter et transmettre. Plusieurs médecins et chercheurs indépendants, comme le Dr Jean-Pierre Willem, le Pr Luc Montagnier ou encore le Pr Henri Joyeux, ont reconnu la valeur de ses idées, et continuent à s’en inspirer aujourd’hui.
En 2013, à l’âge de 90 ans, il continuait de manifester son indignation et son espoir de voir un jour la vérité triompher. Il disait alors : « On aurait pu épargner des millions de vies si l’on avait bien voulu m’écouter dès les années 1980. Mais l’argent domine tout et mes protocoles de prévention dérangeaient. J’en suis convaincu, on finira par m’entendre. »
Conclusion : une voie oubliée à redécouvrir d’urgence
Le docteur André Gernez a ouvert la voie à une médecine véritablement préventive, naturelle et respectueuse des lois biologiques. Dans un monde où les maladies dégénératives explosent, ses intuitions apparaissent aujourd’hui comme visionnaires et plus actuelles que jamais. Ses recherches méritent d’être redécouvertes, étudiées et prolongées – pour une médecine au service de la vie.
En effet, aujourd’hui encore, la pensée du Dr Gernez dérange les croyances établies. Elle pousse à regarder le cancer non comme une malchance, mais comme un déséquilibre biologique évitable. Elle invite à sortir du fatalisme, à observer la vie cellulaire avec intelligence, et à oser prévenir là où la médecine ne fait souvent que réparer.
Dans notre centre ¡Viva la Vida!, nous croyons comme lui qu’il est possible d’offrir aux enfants atteints de cancer un avenir de régénération et de vie, en respectant le corps, la nature, et les lois fondamentales du vivant.


« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.
Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.
En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »
Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.
Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :
Par ailleurs, pour aller plus loin et comprendre sur quoi se base le centre ¡Viva la Vida! pour réaliser sa mission au service des enfants atteints par le cancer, je vous invite vivement à :
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La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :
Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.
Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.
Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.
Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.
Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.
Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »
