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Approches naturelles du cancer par des scientifiques

Les découvertes de Geerd Hamer sur les conflits biologiques

Le médecin et chercheur visionnaire qui a révélé le rôle des émotions dans la genèse du cancer

Le docteur Ryke Geerd Hamer fut un cancérologue brillant pendant une vingtaine d’années. Puis son destin a basculé après la mort tragique et brutale d’un des ses enfants. Trois mois après le décès de leur fils, lui et son épouse ont été diagnostiqués du même cancer, ce qui a poussé cet oncologue à chercher s’il n’existait pas un lien entre un choc émotionnel violent et l’apparition de la maladie.

Pendant plusieurs années, il a étudié méthodiquement plus de 6500 cas de patients atteints de cancer. Ce travail l’a conduit à mettre en lumière ce qu’il a appelé les « cinq lois biologiques », des principes naturels qui relient les émotions profondes, un organe spécifique et les symptômes développés.

Ses découvertes, novatrices mais aussi dérangeantes, lui ont valu l’admiration et la reconnaissance des nombreux patients dont il a sauvé la vie, mais aussi de vifs conflits avec les institutions médicales. Cependant, au-delà de ces difficultés, elles ont constitué le socle de ce qu’il a nommé la Nouvelle Médecine Germanique, une approche qui montre que chaque maladie trouve son origine dans un vécu émotionnel précis. Cette vision ouvre la voie à une compréhension entièrement nouvelle de la maladie et des chemins possibles vers la guérison.


1. Un cancérologue brillant et reconnu, confronté à une violente épreuve

Ryke Geerd Hamer naquit en Allemagne en 1935 et compléta son doctorat en médecine en 1963 à l’âge de 28 ans. Sa carrière était prometteuse : il exerça comme spécialiste en médecine interne à la clinique universitaire de Tübingen, puis à Heidelberg, où il était responsable de patients cancéreux. Parallèlement à sa pratique clinique, il démontrait un talent exceptionnel pour l’innovation médicale. Il inventa notamment un scalpel électrique à lame ultra-fine, capable de couper vingt fois plus finement qu’une lame de rasoir, ainsi que d’autres instruments chirurgicaux innovants. Ces inventions lui procurèrent l’indépendance financière nécessaire pour réaliser son rêve : partir en Italie avec sa famille et soigner gratuitement les populations défavorisées des quartiers pauvres de Rome.

C’est alors que le drame survint. Le 18 août 1978, son fils aîné Dirk, âgé de 19 ans, fut touché par balle accidentellement alors qu’il dormait sur un yacht près de l’île de Cavallo, en Corse. Le projectile provenait du fusil du prince Victor-Emmanuel de Savoie. Malgré tous les efforts médicaux, Dirk succomba à ses blessures quatre mois plus tard, le 7 décembre 1978, dans les bras de son père. Trois mois après ce choc émotionnel dévastateur, le docteur Hamer développa un cancer des testicules. Son épouse Sigrid, elle aussi effondrée par la perte de leur fils, fut diagnostiquée d’un cancer des ovaires. Cette coïncidence troublante suscita chez cet homme de science une question fondamentale : et si ce choc brutal avait déclenché leur cancer ? Était-il possible qu’un conflit psychologique intense puisse engendrer une maladie physique spécifique ?

Portrait du docteur geerd hamer

2. La définition des cinq lois biologiques

Animé par cette hypothèse révolutionnaire, le docteur Hamer entreprit d’étudier systématiquement les antécédents de ses patients cancéreux. Il interrogea chacun d’eux sur les événements marquants survenus avant l’apparition de leur maladie. À sa grande surprise, il constata que tous avaient vécu un choc émotionnel inattendu et dramatique peu avant le diagnostic. Mais Hamer alla plus loin : en analysant les scanners cérébraux de ses patients et en les comparant avec leurs histoires personnelles et leurs symptômes organiques, il découvrit une corrélation systématique entre le type de conflit émotionnel vécu, une zone précise du cerveau et l’organe touché par la maladie.

Après avoir examiné des milliers de cas, il parvint à formuler ce qu’il nomma les « cinq lois biologiques de la nature ». Ces lois constituent les fondements de ce qu’il appellera plus tard la Nouvelle Médecine Germanique. Elles proposent une compréhension radicalement différente de la maladie, non plus comme un dysfonctionnement ou une erreur de la nature, mais comme un programme biologique sensé, déclenché par le cerveau en réponse à un conflit psychologique insurmontable.

Loi 1 : La maladie est un programme biologique de survie déclenché par un choc émotionnel

La première loi stipule que toute maladie débute par ce que Hamer nomma le « DHS » (Dirk Hamer Syndrome), en hommage à son fils. Il s’agit d’un choc conflictuel vécu comme dramatique, aigu, isolant et inattendu, qui frappe simultanément sur trois niveaux : la psyché, le cerveau et l’organe. Ce n’est pas n’importe quel stress ou contrariété, mais un événement qui prend la personne totalement au dépourvu, sans possibilité de préparation mentale. Au moment précis de ce choc, le cerveau enclenche un programme biologique spécial destiné à aider l’organisme à gérer cette situation de survie. Ce qui est appelé « maladie » est donc en réalité une réponse biologique adaptative face à un conflit insoluble au niveau psychologique. Le corps cherche ainsi, par le biais de modifications organiques, à compenser ce que la psyché ne parvient pas à résoudre.

Loi 2 : Chaque conflit émotionnel touche un organe précis via le cerveau

La deuxième loi révèle que le type de conflit vécu détermine à la fois la zone cérébrale impactée et l’organe qui développera les symptômes. Cette correspondance n’est pas aléatoire : elle s’explique par l’évolution de notre espèce. Chaque zone du cerveau fut programmée au cours de notre développement phylogénétique pour répondre instantanément à des menaces spécifiques à la survie.
Par exemple, un conflit lié à la peur de mourir (panique de manquer d’air) touche les alvéoles pulmonaires, tandis qu’un conflit de séparation affecte la peau ou les canaux galactophores du sein. Un conflit de « morceau » (ne pas pouvoir attraper, avaler ou digérer un morceau, au sens propre ou figuré) impacte le tube digestif. Hamer identifia ces correspondances avec une précision remarquable, cartographiant littéralement dans le cerveau les relais de chaque organe et le type de conflit qui les active.

Loi 3 : Toute maladie se déroule en deux phases

La troisième loi décrit le déroulement temporel de ce que Hamer appelle un « Programme Biologique Spécial ». Si le conflit est résolu, la maladie évolue en deux phases distinctes, chacune gouvernée par une branche différente du système nerveux autonome.

D’abord, la phase active du conflit (ou phase froide) correspond à un état de sympathicotonie : le système nerveux sympathique est activé en permanence, comme si le corps était en mode survie. La personne est en état de stress constant, elle pense obsessivement à son problème, dort mal (notamment dans la seconde moitié de la nuit), a les mains et pieds froids en raison de la vasoconstriction périphérique, perd l’appétit et maigrit. Sur le plan organique, selon la zone cérébrale concernée, on observe soit une prolifération cellulaire (tumeur dans les organes contrôlés par le cerveau ancien), soit nécrose ou ulcération (dans les organes contrôlés par le cortex cérébral).

Puis vient la phase de résolution du conflit (ou phase chaude), qui débute dès que le conflit psychologique est résolu. Le système nerveux bascule alors en vagotonie : le système nerveux parasympathique, régulé par le nerf vague, prend le relais pour orchestrer la réparation et la régénération. La personne se détend, retrouve l’appétit et le sommeil, ses extrémités deviennent chaudes par vasodilatation, mais elle peut développer des symptômes inflammatoires, de l’œdème et de la fatigue. C’est durant cette phase de guérison que surviennent souvent les crises les plus spectaculaires, ce que Hamer nomme la « crise épileptoïde », un moment intense au pic de la phase de réparation où le corps rejette les toxines accumulées et consolide la reconstruction tissulaire, avant de revenir progressivement à un état d’équilibre.

Loi 4 : Les microbes sont nos alliés

La quatrième loi remet en question la théorie pasteurienne des germes comme ennemis. Selon Hamer, les microbes ne sont pas la cause de la maladie, mais interviennent durant la phase de guérison comme des ouvriers spécialisés. Chaque type de microbe a une fonction précise, déterminée par l’embryologie : les champignons et mycobactéries dégradent les tumeurs formées durant la phase de conflit actif dans les organes contrôlés par le tronc cérébral et le cervelet ; les bactéries participent à la reconstruction des tissus nécrosés dans les organes contrôlés par la moelle cérébrale ; les virus (dont Hamer questionnait même l’existence en tant qu’entités indépendantes) interviennent dans la réparation des ulcères des tissus contrôlés par le cortex cérébral. Les microbes sont donc considérés comme des agents de guérison, présents en dormance dans l’organisme et activés au moment opportun par le cerveau lui-même.

Loi 5 : Rien dans la maladie n’est hasard ni erreur

La cinquième loi, que Hamer considérait comme la quintessence de sa découverte, affirme que tout dans la nature a un sens. Il n’existe pas de maladie « maligne » ou « bénigne », pas de cellules qui se rebellent par erreur, pas de système immunitaire défaillant. Chaque symptôme, même le plus effrayant, s’inscrit dans une logique biologique de survie héritée de millions d’années d’évolution. Une tumeur pulmonaire, par exemple, augmente la surface alvéolaire pour capter plus d’oxygène face à une peur panique de mourir. Un cancer du foie aide à digérer un « morceau » indigeste (comme un héritage conflictuel). Cette loi invite à voir la maladie non comme une fatalité à combattre, mais comme un message du corps qui cherche toujours à survivre et tente de compenser un conflit psychologique insoluble. Comprendre ce sens biologique permet alors d’accompagner le processus de guérison avec intelligence et respect pour la sagesse innée de l’organisme.


3. La Nouvelle Médecine Germanique : un nouveau regard sur la maladie

Les découvertes du docteur Hamer bouleversent radicalement la conception dominante de la maladie. Là où la médecine conventionnelle voit un dysfonctionnement, une cellule devenue « folle », un système immunitaire défaillant ou une attaque microbienne, la Nouvelle Médecine Germanique révèle un programme cohérent mis en place par le cerveau pour aider l’organisme à survivre à une situation psychologiquement insoutenable. Cette perspective transforme complètement l’approche thérapeutique.

Dans cette vision, le cancer n’est pas un ennemi à éliminer à tout prix par des traitements agressifs. Il constitue la réponse biologique adaptative à un conflit précis qui n’a pas trouvé de solution au niveau psychologique. L’apparition d’une tumeur dans un organe correspond à une tentative du corps de compenser ce conflit en modifiant la fonction de cet organe. Par exemple, face à un conflit de séparation brutale (perte d’un être cher, divorce), les canaux galactophores du sein peuvent développer une prolifération cellulaire, comme si le corps cherchait à maintenir symboliquement le lien rompu par la production de lait maternel, substance du lien par excellence.

Cette compréhension ouvre des perspectives thérapeutiques entièrement nouvelles. Si la maladie résulte d’un conflit psychologique non résolu, alors la clé de la guérison réside dans l’identification et la résolution de ce conflit. Hamer ne prônait pas l’abandon de tout traitement médical, mais insistait sur la nécessité de comprendre le sens biologique des symptômes et d’accompagner la personne dans son processus naturel de guérison. Il soulignait que les phases les plus dangereuses surviennent souvent durant la phase de réparation, lorsque l’œdème cérébral peut comprimer des zones vitales, ou lors de la crise épileptoïde où les symptômes s’intensifient brutalement. Un accompagnement adapté, conscient de ces mécanismes, permet d’éviter les complications tout en respectant le processus biologique en cours.

Il est fascinant de constater que cette approche rejoint des savoirs ancestraux. La médecine traditionnelle chinoise, pratiquée depuis des millénaires, établit depuis toujours des correspondances précises entre les émotions et les organes : la peur affaiblit les reins, la tristesse touche les poumons, la colère impacte le foie, l’inquiétude perturbe la rate, tandis que l’absence de joie affecte le cœur. Ces corrélations, connues empiriquement par les médecins chinois bien avant nos technologies modernes, trouvent un écho scientifique étonnant dans les travaux de Hamer. Cela suggère que les lois biologiques qu’il a découvertes ne sont pas des inventions théoriques, mais bien des principes universels du vivant, observés à travers les cultures et les époques sous des formes différentes. Cette convergence entre sagesse ancestrale et recherche contemporaine renforce la crédibilité de ces découvertes et montre qu’il existe des lois de la vie qui transcendent les systèmes médicaux et les cultures.

La Nouvelle Médecine Germanique propose donc un changement de paradigme fondamental : passer d’une vision de la maladie comme ennemie à combattre, à une compréhension de la maladie comme alliée porteuse d’un message. Cette approche consiste à créer les conditions favorables pour que le corps puisse achever naturellement son processus de régénération, plutôt que de le soumettre à des traitements agressifs qui, s’ils détruisent parfois la tumeur, ne résolvent jamais le conflit à l’origine du programme biologique.

Cela rejoint ma compréhension que, face à un cancer, il est essentiel d’agir directement à la racine du problème en éliminant à tout prix les facteurs cancérigènes qui sont à l’origine de la maladie, par définition. Il est ensuite souhaitable de les remplacer par des éléments que je qualifie de « cancérifuges ». Cancérifuge est un mot que j’invente et qui pour moi est l’inverse de cancérigène. Cancérigène signifie favorable à l’apparition du cancer. Selon ma définition, cancérifuge signifie favorable à la disparition du cancer.


4. Un scientifique rigoureux, génial et courageux, dont le message reste vivant

La rigueur scientifique du docteur Hamer ne peut être mise en doute. Il ne s’est pas contenté d’émettre une théorie abstraite, mais a étudié méthodiquement plus de 10 000 cas de patients, analysant systématiquement leurs scanners cérébraux, leurs symptômes organiques et leurs histoires personnelles. Il a documenté ses observations avec une précision remarquable, identifiant dans le cerveau les relais exacts correspondant à chaque organe et à chaque type de conflit. Ses découvertes n’ont jamais été scientifiquement réfutées. Bien au contraire, lors de son procès en 1997, un procureur fut contraint d’admettre que sur 6500 patients suivis par Hamer, pour la plupart considérés comme « en phase terminale », 6000 étaient encore en vie après plus de cinq ans. Ce taux de succès exceptionnel, reconnu involontairement par ses opposants eux-mêmes, témoigne de l’efficacité de son approche. En effet, il est de loin supérieur à celui obtenu en suivant les traitements habituels conventionnels.

Pourtant, le docteur Hamer a payé très cher ses découvertes révolutionnaires. Dès 1981, lorsque Geerd Hamer soumit sa thèse de post-doctorat intitulée « Le syndrome d’Hamer et la Loi d’Airain du cancer » à l’Université de Tübingen, il se heurta à un refus catégorique. Cette thèse présentait de manière rigoureuse ses découvertes sur les liens entre le psychisme, le cerveau et l’organe correspondant dans le déclenchement et la guérison des maladies, particulièrement le cancer. L’université refusa même d’examiner officiellement ses travaux, un cas sans précédent dans le monde universitaire. En mai 1982, son dossier fut rejeté pour insuffisance scientifique en termes de forme et de méthodologie, sans véritable étude du contenu. Malgré une décision judiciaire de 1994 ordonnant à l’université de poursuivre l’examen de sa thèse, celle-ci déclara qu’elle ne prévoyait aucun processus de validation. Ce refus obstiné d’étudier des observations pourtant reproductibles et documentées selon les critères scientifiques les plus stricts demeure difficile à comprendre. En 1989, à l’âge de 54 ans, Geerd Hamer fut radié de l’Ordre des médecins pour avoir refusé de renier ses découvertes et de se conformer aux dogmes de la médecine officielle. Cette décision brisa sa carrière et le contraignit à poursuivre ses recherches dans des conditions difficiles, privé d’accès direct aux patients et aux équipements médicaux.

Les persécutions ne s’arrêtèrent pas là. En 1997, il fut condamné à 19 mois de prison pour avoir donné des informations médicales à trois personnes sans disposer d’une licence médicale. En 2004, il fut arrêté en Espagne puis extradé en France où il fut à nouveau emprisonné. Ces mesures répressives semblent disproportionnées, surtout lorsqu’on les compare à la sentence dont bénéficia Victor-Emmanuel de Savoie : treize ans après avoir tué Dirk Hamer, le prince fut condamné à seulement six mois de prison avec sursis pour port d’arme illégal.

Malgré cette répression acharnée, le docteur Hamer ne renonça jamais. Il continua à étudier, à documenter, à transmettre ses connaissances à travers de nombreux ouvrages consacrés à la Nouvelle Médecine Germanique. Ainsi, à la fin des années 1980, il a publié un livre intitulé « Krebs ist heilbar » (le cancer est guérissable). Ce livre, disponible en allemand, expose sa vision alternative de la maladie comme étant liée à des conflits émotionnels et psychiques, et affirmant que le cancer peut être guéri sans les méthodes traditionnelles telles que la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie.

Son épouse Sigrid, elle, ne se remit jamais du deuil de leur fils et de l’acharnement judiciaire contre son mari. Elle décéda en 1985, épuisée par ces épreuves successives. Hamer poursuivit donc seul son œuvre jusqu’à la fin de sa vie, où il publia un livre intitulé : « Seul contre tous ». Dans cet ouvrage, Hamer relate son parcours, ses découvertes et ses combats personnels. Il expose notamment ses concepts de la « Nouvelle Médecine Germanique » et décrit les épreuves personnelles et professionnelles qu’il a subies et les controverses qui ont entouré son travail. Le titre exprime sa situation de médecin et chercheur en marge des systèmes médicaux traditionnels, souvent en opposition avec la communauté scientifique et médicale dominante. Cette expression symbolise aussi son combat contre ce qu’il considérait comme une opposition systématique à ses découvertes, notamment l’idée que la maladie, y compris le cancer, serait liée à un choc psychique brutal.

Geerd Hamer quitte ce monde le 2 juillet 2017, à l’âge de 82 ans, en Norvège, où il s’était exilé pour fuir les persécutions. Il rejoignit ainsi son fils Dirk, dont la mort tragique avait paradoxalement permis l’émergence de ces découvertes capitales.

Aujourd’hui, malgré les tentatives de discréditer son travail, la Nouvelle Médecine Germanique continue d’inspirer des milliers de thérapeutes et de patients à travers le monde. Ses cinq lois biologiques sont enseignées et appliquées par des praticiens qui reconnaissent la valeur de cette compréhension profonde des mécanismes de la maladie, particulièrement en Amérique Latine où les patients recherchent des solutions efficaces, naturelles, peu coûteuses et durables à leurs maladies. Son héritage reste vivant, non pas comme un dogme figé, mais comme une contribution essentielle à une vision plus globale et respectueuse de la santé humaine.


5. Mon positionnement par rapport aux découvertes du docteur Hamer

Je suis convaincue que le docteur Ryke Geerd Hamer était à la fois un scientifique rigoureux, un génie par ses découvertes innovantes et un médecin rempli de compassion et de dévouement envers ses patients. En révélant les liens entre psyché et maladie, il a ouvert une voie essentielle En révélant les liens entre psyché et maladie, il a ouvert une voie essentielle qui mérite d’être reconnue et intégrée dans une approche globale de la santé. J’en parle dans la vidéo suivante que je vous invite à visionner :

MES RECHERCHES SUR LE CANCER PÉDIATRIQUE-partie 2

Cependant, certains praticiens de la Nouvelle Médecine Germanique se cantonnent strictement aux découvertes du docteur Hamer, considérant que comprendre et résoudre le conflit psychologique suffit pour soigner n’importe quelle maladie. Cette position exclusive me semble réductrice, même si elle part d’une intention louable de respecter l’enseignement du maître.

Selon moi, il est essentiel d’assembler les résultats des recherches de tous les découvreurs pertinents, comme le docteur Otto Warburg qui a démontré que les cellules cancéreuses fonctionnent en fermentation anaérobie plutôt qu’en respiration cellulaire normale, ou Louis-Claude Vincent qui a mis en lumière l’importance de l’équilibre bioélectronique des liquides corporels. (voir les articles Les découvertes d’Otto Warburg sur le métabolisme du cancer et La bioélectronique de Louis-Claude Vincent à ce sujet). Ces découvertes ne s’opposent pas à celles de Hamer, elles les complètent. Le cancer est un phénomène complexe qui possède de multiples facettes : psychologique certes, mais aussi métabolique, énergétique, nutritionnel et environnemental.

Pour les enfants atteints de cancer, il est important de comprendre l’aspect psychologique découvert par Hamer, sans toutefois s’y limiter. Un enfant cancéreux a effectivement vécu un choc émotionnel, qu’il soit conscient ou inconscient, personnel ou même transgénérationnel. Identifier ce conflit et aider l’enfant à le dépasser fait partie intégrante du processus de guérison. Mais cela ne suffit pas. Il faut également s’occuper des aspects physiologiques : restaurer l’oxygénation cellulaire, rétablir l’équilibre acido-basique et l’équilibre bioélectronique des liquides, éliminer les toxines accumulées, fournir une nutrition vivante et alcalinisante, renforcer le terrain biologique global.

Au centre ¡Viva la Vida !, les enfants se retrouvent dans un environnement bienveillant et porteur au niveau émotionnel. Ils sont libres et encouragés dans leurs initiatives personnelles. La paix intérieure et le rire naturel chez un enfant sont des médicaments en soi, qui favorisent la résolution des conflits psychologiques identifiés par Hamer. Mais nous ne négligeons pas pour autant les autres dimensions de la guérison. Nous prenons également en compte les aspects physiologiques et énergétiques pour une guérison holistique, comme l’a démontré le docteur Tal Schaller et tant d’autres pionniers de la santé naturelle.

Cette approche intégrative, qui honore les découvertes de Hamer tout en les enrichissant par d’autres connaissances complémentaires, me semble être la voie la plus respectueuse et la plus efficace pour accompagner un enfant vers la guérison. Car un être humain n’est pas seulement psyché, il n’est pas seulement biochimie, il n’est pas seulement énergie : il est tout cela à la fois, dans une unité indivisible qu’il convient de soigner dans sa globalité.



Conclusion : l’importance de prendre en compte la dimension émotionnelle pour soigner durablement une maladie

Les découvertes du docteur Ryke Geerd Hamer ont ouvert une porte essentielle vers la compréhension des origines psychologiques de la maladie. En démontrant que chaque symptôme possède un sens biologique et résulte d’un conflit émotionnel précis, il a révolutionné notre façon de voir le cancer et les maladies en général. Ses cinq lois biologiques constituent un apport majeur qui rejoint d’ailleurs des savoirs ancestraux comme ceux de la médecine traditionnelle chinoise.

Son courage face aux persécutions, sa rigueur scientifique et son dévouement aux patients forcent l’admiration. Les résultats cliniques exceptionnels qu’il a obtenus témoignent de la validité de son approche. Cependant, pour une guérison complète et durable, particulièrement chez les enfants cancéreux, il convient d’intégrer ses découvertes dans une vision holistique plus large, qui prend en compte simultanément les dimensions psychologique, physiologique, nutritionnelle et énergétique de l’être humain.

C’est dans cet esprit d’ouverture et de synthèse que le centre ¡Viva la Vida ! accompagne les enfants atteints de cancer vers une régénération naturelle de leur santé, en créant les conditions cancérifuges nécessaires à l’expression de leur formidable potentiel d’auto-guérison.


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« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.

Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.

En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »


Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :



Page de couverture du guide de présentation du centre viva la vida

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Par ailleurs, pour aller plus loin et comprendre sur quoi se base le centre ¡Viva la Vida! pour réaliser sa mission au service des enfants atteints par le cancer, je vous invite vivement à :





Voici une liste d’articles passionnants et probants sur les APPROCHES NATURELLES DU CANCER PAR DES SCIENTIFIQUES :



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La chaîne YouTube Centre ¡VIVA LA VIDA! – français présente des vidéos éducatives et de sensibilisation sur le cancer de l’enfant :



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La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :



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Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.


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« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.

Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.

Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.

Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.

Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.

Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »


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