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Le secret des peuples sans cancer

Ce que nous apprennent les peuples qui vivent sans cette maladie moderne

Le cancer est une maladie terrible qui sévit comme un fléau apparemment mystérieux dans les sociétés qualifiées de « modernes ». Alors comment est-il possible que, sur notre planète, des peuples puissent ne même pas connaître cette maladie ?Le docteur Jean-Pierre Willem révèle ce que nous enseignent les populations épargnées par le cancer. Et s’il existait encore, sur notre planète, des peuples qui ne connaissent pas cette maladie ? Le docteur Jean-Pierre Willem, médecin, chirurgien, anthropologue et explorateur infatigable de la santé naturelle, a parcouru le monde pendant des décennies. Dans son livre Le secret des peuples sans cancer, il partage ce qu’il a observé chez certaines sociétés traditionnelles où le mot « cancer » n’existe même pas, tant cette maladie y est absente, voire inconnue, et ce, quel que soit l’âge des individus qui vivent pour la plupart à un âge avancé tout en restant en parfaite santé tout au long de leur vie.

Mais quel est donc leur secret ? Et que pouvons-nous en apprendre pour accompagner et soulager les enfants atteints de cancer d’aujourd’hui… et pour prévenir cette épidémie silencieuse qui frappe nos sociétés qualifiées de « civilisées » ?


1. Un médecin aventurier au service de l’humanité

Jean-Pierre Willem n’est pas un simple observateur de la santé humaine. Son parcours exceptionnel en fait un témoin privilégié des différentes façons de concevoir la médecine à travers le monde. Né en 1938 dans les Ardennes, il a consacré sa vie à comprendre les médecines traditionnelles et à observer la santé exceptionnelle de certains peuples.

Dès 1959, alors qu’il est encore jeune étudiant en médecine, Jean-Pierre Willem part en Algérie pendant la guerre d’indépendance. C’est le début d’un parcours qui le mènera dans toutes les zones de conflit des années 1960 aux années 1980. En 1964, il devient l’un des derniers assistants du docteur Albert Schweitzer à Lambaréné, au Gabon. Cette rencontre marquera profondément sa vision de la médecine. Auprès de Schweitzer, Willem découvre l’importance du respect de l’environnement socioculturel des peuples, l’intérêt des pharmacopées locales et une approche humaniste de la santé.

Au fil de ses missions humanitaires, Jean-Pierre Willem traverse le Rwanda, le Viêt Nam, le Cambodge, le Laos, le Liban, l’Iran, l’Irak et la Somalie. Partout, il observe, apprend et documente. Son regard de chirurgien et d’anthropologue lui permet de croiser deux perspectives complémentaires sur la santé humaine. Comme il l’écrit lui-même : « Durant quarante ans, j’ai sillonné la planète dans le cadre de missions humanitaires et j’ai pu étudier certaines pathologies avec l’œil du médecin et de l’anthropologue associé pour essayer de dépister les facteurs socio-culturels. »

C’est au cours de ces décennies d’exploration que Jean-Pierre Willem fait une observation stupéfiante : certaines populations traditionnelles ne connaissent pratiquement pas le cancer, ni d’ailleurs les maladies cardiovasculaires qui ravagent nos sociétés modernes. Cette découverte le conduit à approfondir ses recherches pour comprendre ce qui protège ces peuples des fléaux qui nous frappent.

Portrait de jean pierre wilhem

2. Une enquête fascinante auprès de populations traditionnelles

Les observations de Jean-Pierre Willem portent sur plusieurs communautés vivant dans des conditions très différentes les unes des autres, mais partageant toutes une caractéristique remarquable : l’absence quasi totale de cancer et de maladies dégénératives, malgré des conditions de vie souvent rudimentaires selon nos critères occidentaux. Parmi les peuples étudiés, trois ont retenu particulièrement l’attention de Jean-Pierre Willem : les Hunzas au Pakistan, les Okinawaïens au Japon et les Vilcabambas en Équateur.

Les Hunzas vivent dans une vallée isolée du Pakistan, à plus de 2400 mètres d’altitude, aux confins de l’Inde et du Cachemire. Cette région, surnommée « l’oasis de jeunesse », abrite un peuple dont l’espérance de vie moyenne atteint 120 ans. Le docteur McCarrison, médecin britannique qui a étudié cette population au début du XXe siècle, a dressé une liste impressionnante des maladies dont les Hunzas sont exempts : cancer, ulcère gastrique, appendicite, colite, maladies coronariennes, calculs biliaires ou rénaux, hypertension, diabète et obésité. Cette absence de pathologies ne concerne pas seulement les adultes : elle s’observe à tous les âges de la vie.

À Okinawa, un archipel situé au sud du Japon, les centenaires sont quatre fois plus nombreux qu’en France. L’espérance de vie y atteint 83,8 ans, soit plus qu’au Japon continental qui détient pourtant déjà des records mondiaux de longévité. Mais surtout, les Okinawaïens vivent en bonne santé : ils présentent cinq fois moins de cancers et de maladies cardiovasculaires que les populations occidentales. Le docteur Makoto Suzuki, qui a étudié ces centenaires depuis les années 1970, s’est émerveillé de leur santé physique et mentale exceptionnelle.

En Équateur, dans la vallée de Vilcabamba, située entre 1500 et 1600 mètres d’altitude dans la Cordillère des Andes, les habitants bénéficient également d’une longévité remarquable. Cette « vallée sacrée », comme son nom l’indique en quechua, a attiré l’attention du monde entier dans les années 1970 lorsque le docteur Alexander Leaf a constaté une proportion de centenaires dix fois supérieure à celle des pays occidentaux.

Ces trois populations, géographiquement et culturellement très éloignées, partagent pourtant des caractéristiques communes frappantes dans leur mode de vie. Leur alimentation est naturelle, locale, non transformée industriellement et totalement exempte de produits chimiques. La nourriture est produite sur place, souvent avec seulement des outils manuels et des techniques traditionnelles transmises de génération en génération.

Ces peuples vivent essentiellement en plein air, en contact quotidien avec la terre, l’eau et les arbres. Leur existence s’organise autour d’un mouvement constant : ils marchent des kilomètres chaque jour sur des terrains montagneux, travaillent dans leurs champs jusqu’à un âge très avancé et ne connaissent pas la sédentarité qui caractérise nos sociétés modernes.

La solidarité sociale, la vie communautaire et le respect des anciens constituent également des piliers essentiels de ces sociétés. Les personnes âgées continuent à participer activement à la vie du village, à transmettre leur savoir et à se sentir utiles. Enfin, la sobriété, la simplicité et la lenteur caractérisent leur façon de vivre. L’absence de stress moderne, de compétition effrénée et d’agitation mentale permanente crée un environnement propice à la santé.

Couverture du livre le secret des peuples sans cancer de jean pierre wilhem

3. Le secret révélé : l’état d’acido-cétose et l’harmonie avec la nature

L’analyse minutieuse de Jean-Pierre Willem révèle un point commun fondamental entre tous ces peuples sans cancer : leur organisme connaît régulièrement des périodes d’acido-cétose. Ce constat constitue la clé de voûte de leur exceptionnelle résistance au cancer et aux maladies cardiovasculaires.

Jean-Pierre Willem insiste particulièrement sur un fait essentiel : ces peuples connaissent des périodes de pénurie alimentaire. Ce ne sont des personnes qui ne mangent pas tous les jours à leur faim. Elles connaissent des périodes de manque, lorsque leurs récoltes se terminent ou sont insuffisantes. Cette particularité, même si elle n’est pas recherchée de façon volontaire et consciente, représente en fait un atout majeur pour leur santé. En effet, lorsque l’organisme manque de nourriture, il entre en état d’acido-cétose, un métabolisme qui empêche les maladies dégénératives de se développer.

Pendant ces périodes de restriction alimentaire, le corps humain puise dans ses réserves de graisse pour produire des corps cétoniques qui servent de carburant alternatif au glucose. Cet état métabolique particulier possède plusieurs effets bénéfiques démontrés par la science moderne. Les cellules cancéreuses, qui se nourrissent quasi exclusivement de glucose, se trouvent privées de leur carburant préféré. À l’inverse, les cellules saines peuvent utiliser les corps cétoniques pour fonctionner normalement. L’organisme effectue ainsi naturellement une sorte de nettoyage ciblé qui affaiblit les cellules potentiellement cancéreuses tout en préservant les tissus sains.

Cette observation rejoint d’ailleurs les travaux du docteur André Gernez sur la prévention du cancer, qui a démontré l’intérêt d’une cure annuelle de restriction alimentaire pour détruire les microtumeurs naissantes avant qu’elles ne se développent. Jean-Pierre Willem détaille dans son livre les concordances entre ses propres observations sur les populations sans cancer et les découvertes de André Gernez sur la biologie du cancer.

L’alimentation de ces peuples présente des caractéristiques nutritionnelles remarquables. Elle est peu calorique mais extraordinairement riche en micronutriments essentiels. Au quotidien, ils consomment principalement des fruits frais, des légumes variés, des graines, des herbes sauvages et très peu de viande. Les produits transformés sont totalement absents de leur régime alimentaire.

Ce qui est remarquable, c’est l’absence totale de sucre raffiné, de produits chimiques tels que pesticides, additifs ou conservateurs, et de protéines animales en excès. Cette frugalité apparente cache en réalité une richesse nutritionnelle exceptionnelle. Leur nourriture regorge d’antioxydants naturels provenant des végétaux colorés, des plantes médicinales sauvages et des épices locales qu’ils utilisent quotidiennement.

Les Hunzas, par exemple, consomment d’énormes quantités d’abricots, notamment sous forme séchée. Ces fruits contiennent non seulement des antioxydants puissants, mais aussi, dans leur noyau, de l’amygdaline, une substance qui possède des propriétés anticancéreuses reconnues. Les Okinawaïens, quant à eux, consomment quotidiennement du soja sous toutes ses formes, riche en phyto-œstrogènes aux effets antioxydants, anticancer et anti-ostéoporose.

Le mode de vie de ces populations s’harmonise parfaitement avec les rythmes naturels. Ils se lèvent et se couchent avec le soleil, respectant ainsi leur horloge biologique interne. Leur activité physique est quotidienne, douce et fonctionnelle : ce n’est pas du sport au sens moderne, mais simplement une vie active où le corps est constamment sollicité de manière naturelle.

L’environnement dans lequel ils évoluent joue également un rôle essentiel. Ils respirent un air pur, dépourvu de pollution industrielle. Ils boivent une eau vivante, souvent issue de sources de montagne riches en minéraux essentiels. Leur sommeil est profond et réparateur, non perturbé par la lumière artificielle ou les écrans. Enfin, et peut-être surtout, ces personnes ne vivent ni dans la peur, ni dans la hâte, ni dans l’agitation mentale qui caractérise nos sociétés modernes. Cette sérénité psychologique représente sans doute un facteur aussi important que l’alimentation dans leur extraordinaire résistance au cancer.

Jean-Pierre Willem note également que l’altitude à laquelle vivent ces populations semble jouer un rôle favorable. La plupart se situent entre 1500 et 2400 mètres, une altitude qui favoriserait certains processus métaboliques protecteurs.


4. Le cancer vu comme la conséquence directe de notre mode de vie moderne

L’observation minutieuse de ces peuples sans cancer conduit Jean-Pierre Willem à une conclusion aussi simple que dérangeante pour nos sociétés modernes : l’apparition ou la disparition du cancer dépend avant tout de l’environnement et du mode de vie, non d’une quelconque fatalité génétique.

Jean-Pierre Willem écrit explicitement : « Le fait que le cancer puisse être favorisé par le mode de vie est aujourd’hui accepté par tous les scientifiques. Il est devenu d’une évidence incontestable pour le cancer du poumon et son facteur prédominant, le tabac. » Mais il va plus loin en affirmant : « On estime actuellement que 30 % de tous les cancers sont directement liés à la nature du régime alimentaire des individus. » Cette estimation, qui peut sembler prudente, sous-estime probablement l’impact réel de l’alimentation et du mode de vie global sur le développement du cancer.

La preuve la plus éclatante de l’influence du mode de vie sur le cancer provient de l’étude des populations migrantes. Lorsque des Okinawaïens émigrent au Brésil et adoptent le mode de vie occidental, leur espérance de vie chute de dix-sept ans et leur nombre de centenaires est divisé par douze. À Okinawa même, les jeunes générations qui adoptent progressivement les habitudes alimentaires américaines voient leur santé se dégrader rapidement. Ces observations démontrent sans équivoque que la génétique ne joue qu’un rôle mineur face à l’impact du mode de vie.

Cette conclusion rejoint parfaitement les découvertes d’André Gernez, qui a démontré que le cancer résulte d’un déséquilibre du terrain biologique. Gernez a établi qu’une cellule ne devient cancéreuse que lorsqu’elle se trouve dans un environnement favorable à sa transformation maligne. En modifiant cet environnement, notamment par des périodes régulières de restriction alimentaire, on peut détruire les microtumeurs avant qu’elles ne se développent.

Les travaux de Louis-Claude Vincent sur la bioélectronique apportent également un éclairage complémentaire. Vincent a démontré que le cancer se développe préférentiellement dans un terrain alcalin, oxydé et chargé électriquement. Les populations sans cancer maintiennent naturellement, grâce à leurs périodes de jeûne et à leur alimentation frugale, un terrain légèrement acide qui ne favorise pas le développement des cellules cancéreuses.

Le mode de vie moderne crée exactement les conditions inverses de celles observées chez les peuples sans cancer. Nous consommons en permanence des aliments transformés, riches en sucres raffinés et en produits chimiques. Notre alimentation alcalinise excessivement notre organisme tout en créant un stress oxydatif massif. Nous ne connaissons jamais de périodes de restriction alimentaire, notre corps fonctionnant en permanence en mode « stockage » plutôt qu’en mode « nettoyage ».

Notre sédentarité, notre exposition constante à la pollution, aux ondes électromagnétiques et au stress chronique achèvent de créer un terrain favorable au développement du cancer. Les traumatismes émotionnels non résolus, comme l’a démontré le docteur Hamer, constituent également des facteurs déclenchants puissants que ces populations traditionnelles, vivant dans des sociétés solidaires et bienveillantes, connaissent beaucoup moins que nous.

Le cancer n’est donc pas un ennemi mystérieux qui nous frappe par hasard. C’est la conséquence logique et prévisible d’un mode de vie qui agresse quotidiennement notre organisme. Les peuples sans cancer nous prouvent que lorsque nous respectons les lois fondamentales du vivant, cette maladie ne trouve tout simplement pas les conditions nécessaires à son développement.


5. Des enseignements concrets pour se diriger vers un mode de vie cancérifuge

Les observations de Willem nous offrent des pistes concrètes et applicables pour transformer notre quotidien et adopter un mode de vie cancérifuge, c’est-à-dire favorable à la disparition du cancer plutôt qu’à son apparition.

Le premier enseignement concerne l’alimentation. Nous devons retrouver une alimentation naturelle, locale, non transformée et biologique. Cela signifie privilégier massivement les fruits et légumes frais, les graines, les herbes aromatiques et réduire drastiquement notre consommation de protéines animales. L’élimination totale du sucre raffiné, des produits ultra-transformés et de tous les additifs chimiques constitue une priorité absolue. La richesse en antioxydants naturels doit devenir un critère de choix pour nos aliments : légumes colorés, baies, épices et herbes médicinales doivent occuper une place centrale dans notre assiette.

Le deuxième pilier est la pratique régulière de périodes de restriction alimentaire. Willem recommande, à l’instar de Gernez, d’instaurer une cure préventive annuelle au printemps, pendant les mois de mars et avril. Cette période correspond naturellement à une phase de renouveau où le corps peut bénéficier d’un nettoyage en profondeur. La restriction calorique progressive, voire le jeûne intermittent pratiqué régulièrement, permet de mettre l’organisme en état d’acido-cétose et de détruire les cellules précancéreuses qui se forment naturellement dans notre corps.

Le respect des rythmes biologiques naturels s’impose comme une évidence. Se coucher et se lever avec le soleil, ou au moins respecter des horaires réguliers alignés sur les cycles circadiens, permet à l’organisme de fonctionner de manière optimale. Le sommeil profond et réparateur dans l’obscurité complète constitue un moment privilégié de régénération cellulaire.

L’activité physique doit redevenir naturelle et quotidienne. Il ne s’agit pas nécessairement de pratiquer un sport intensif, mais plutôt de bouger constamment tout au long de la journée : marcher, jardiner, effectuer des tâches manuelles qui sollicitent le corps de manière harmonieuse. Les Hunzas marchent quinze à vingt kilomètres par jour sur des terrains montagneux sans considérer cela comme du sport, mais simplement comme leur mode de vie normal.

Le contact régulier avec la nature devient indispensable. Respirer un air pur, marcher pieds nus sur la terre, s’exposer quotidiennement à la lumière naturelle du soleil, boire une eau de qualité et passer du temps en plein air permettent à notre organisme de se régénérer et de maintenir son équilibre. La nature offre des éléments essentiels à notre santé que nos environnements urbains et artificiels ne peuvent pas remplacer.

La dimension psychologique et émotionnelle mérite également toute notre attention. Cultiver la sérénité, réduire le stress chronique, maintenir des liens sociaux riches et solidaires, trouver un sens à notre existence et préserver notre joie de vivre constituent des facteurs protecteurs majeurs. Les Okinawaïens parlent d’« ikigai », cette raison d’être qui donne du sens à la vie et maintient la vitalité même à un âge très avancé.

Willem souligne également l’importance de l’hydratation avec une eau de qualité. Il recommande de boire beaucoup d’eau peu minéralisée, comme celle de source, pour favoriser le drainage de l’organisme et l’élimination des cellules dégénérées. Il met en garde contre les eaux minérales trop chargées et surtout contre l’eau en bouteille plastique exposée au soleil, qui libère des phtalates nocifs.

Pour les enfants atteints de cancer, ces enseignements prennent une dimension encore plus essentielle. Offrir à un enfant malade un environnement cancérifuge, c’est lui donner toutes les chances de régénération naturelle que son organisme possède intrinsèquement. Cela implique une alimentation vivante et nutritive, des périodes de repos digestif adaptées à son état, un environnement serein et naturel, un contact quotidien avec la nature, et surtout, l’amour et le soutien indéfectibles de ses proches dans un cadre rassurant et bienveillant.

Les peuples sans cancer nous montrent qu’il existe une autre voie que celle de la guerre contre la maladie. Cette voie consiste à créer les conditions favorables à la santé plutôt qu’à combattre agressivement la maladie une fois qu’elle s’est installée. C’est un changement de paradigme fondamental : passer de la lutte contre le cancer à la création d’un mode de vie cancérifuge.


Conclusion : Les peuples sans cancer nous prouvent que cette maladie n’est pas une fatalité mais la conséquence de nos choix de vie

Les décennies d’observation du docteur Jean-Pierre Willem auprès de populations traditionnelles nous livrent un message d’une clarté absolue : le cancer n’est pas une fatalité inscrite dans nos gènes, mais bien la conséquence directe de notre mode de vie moderne qui s’est progressivement éloigné des lois fondamentales du vivant.

Ces peuples sans cancer ne bénéficient d’aucun traitement miracle, d’aucune technologie médicale sophistiquée, d’aucun médicament révolutionnaire. Ils vivent simplement en harmonie avec la nature, respectent les rythmes biologiques naturels, s’alimentent sobrement de produits locaux non transformés et maintiennent leur organisme régulièrement en état d’acido-cétose par des périodes de restriction alimentaire.

Le travail remarquable de Willem converge parfaitement avec les découvertes scientifiques de Gernez sur la prévention du cancer par la restriction calorique, de Vincent sur l’importance du terrain biologique, et de tous les pionniers de la santé naturelle qui ont compris que la clé ne réside pas dans la guerre contre la maladie, mais dans la création des conditions favorables à la santé.

Pour nos enfants atteints de cancer, ces enseignements représentent un espoir immense. Ils nous montrent qu’il existe un chemin de régénération naturelle, respectueux du corps et de ses mécanismes d’autoguérison. Un chemin qui demande certes de la détermination et un changement profond de nos habitudes, mais qui offre une alternative réelle et crédible aux approches agressives conventionnelles.

Le secret des peuples sans cancer n’est finalement pas un secret : c’est simplement la mise en application cohérente et quotidienne des principes fondamentaux de la vie. Ces populations nous rappellent que notre corps possède une sagesse innée et une capacité de régénération extraordinaire, pour peu que nous lui offrions les conditions nécessaires à son épanouissement. À nous désormais de faire le choix d’un mode de vie cancérifuge, pour nous-mêmes et surtout pour nos enfants.


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Pourpre travaux et ouvrages

« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.

Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.

En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »


Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

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Par ailleurs, pour aller plus loin et comprendre sur quoi se base le centre ¡Viva la Vida! pour réaliser sa mission au service des enfants atteints par le cancer, je vous invite vivement à :





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Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.


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« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.

Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.

Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.

Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.

Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.

Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »


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