

Centre ¡ Viva la Vida !
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Approches naturelles du cancer par des scientifiques
La bioélectronique de Louis-Claude Vincent
Le scientifique visionnaire qui a montré que le cancer ne peut se développer et prospérer qu’en milieu acide, réducteur et saturé en minéraux
Louis-Claude Vincent, ingénieur hydrologue de formation, a consacré sa vie à comprendre comment la qualité de l’eau influence la santé humaine. À force d’observer les corrélations entre les caractéristiques physico-chimiques de l’eau des communes françaises et l’état de santé de leurs habitants, il a développé une méthode scientifique rigoureuse : la bioélectronique. Celle-ci permet de mesurer objectivement le terrain biologique à travers trois paramètres fondamentaux : le pH (acidité ou alcalinité), le rH2 (potentiel d’oxydo-réduction) et la résistivité (concentration en minéraux). Ses travaux ont révélé que le cancer apparaît dans un terrain profondément acide, sur-réduit et saturé en minéraux, un milieu où les cellules ne peuvent plus respirer correctement et basculent vers la fermentation. En identifiant ces déséquilibres avec précision, Louis-Claude Vincent a ouvert la voie à une approche préventive et curative fondée sur la restauration de l’équilibre du terrain, rejoignant ainsi les découvertes d’Otto Warburg sur le métabolisme du cancer.
1. Un ingénieur devenu chercheur au service de la santé
Né en 1906 dans le sud de la France, Louis-Claude Vincent entreprend des études d’ingénieur et se spécialise en hydrologie. Dès 1926, il travaille pour le compte de centaines de communes françaises sur des projets d’adduction d’eau potable et d’assainissement. Son métier l’amène à analyser quotidiennement la qualité des eaux destinées à la consommation humaine, et c’est là que son regard s’aiguise.
Au fil de ses missions, Vincent remarque une corrélation troublante : dans certaines régions où l’eau présente des caractéristiques physico-chimiques particulières, les habitants semblent plus touchés par certaines maladies, notamment le cancer. Intrigué par ces observations, il décide d’aller plus loin et commence à étudier systématiquement le lien entre la qualité de l’eau et la santé des populations.
Cette démarche le conduit à développer une approche scientifique totalement nouvelle. Plutôt que de se contenter des analyses chimiques classiques qui se limitent à identifier les substances présentes dans l’eau, Vincent cherche à comprendre les propriétés énergétiques et électromagnétiques des liquides. Il pressent que ces caractéristiques invisibles jouent un rôle déterminant dans la capacité de l’eau à soutenir ou, au contraire, à affaiblir la vie.
En 1948, après des années de recherches et de mesures minutieuses, il fonde officiellement la bioélectronique, une discipline qui vise à évaluer objectivement le terrain biologique des êtres vivants. Cette méthode ne se limite pas à l’eau : elle s’applique également aux liquides physiologiques comme le sang, la salive et l’urine. Vincent passe ainsi d’ingénieur hydrologue à véritable chercheur en biologie, ouvrant une voie originale qui relie chimie, physique et médecine préventive.
En 1954, il devient professeur et enseigne sa méthode à l’École d’anthropologie de Paris. Il collabore avec le docteur Jeanne Rousseau, médecin passionnée par les approches naturelles, et ensemble ils affinent la bioélectronique en l’appliquant à des milliers de patients. Leurs travaux permettent de dresser des cartographies précises du terrain biologique et de mieux comprendre les conditions qui favorisent la santé ou, au contraire, la maladie.
Malgré la rigueur scientifique de ses recherches, Vincent se heurte rapidement à l’incompréhension et même à l’hostilité du monde médical et industriel de son époque. Ses conclusions dérangent : elles remettent en question la qualité de l’eau distribuée dans les réseaux publics et suggèrent que certaines pratiques médicales, notamment la vaccination, peuvent déséquilibrer durablement le terrain biologique. Refusant de renoncer à ses convictions, il poursuit néanmoins ses travaux avec acharnement jusqu’à sa mort en 1988, laissant derrière lui un héritage scientifique considérable mais largement méconnu.

2. Des analyses pour comprendre le terrain biologique
La bioélectronique de Vincent repose sur un principe simple mais révolutionnaire : mesurer trois paramètres physico-chimiques fondamentaux pour évaluer la qualité du terrain biologique. Ces trois mesures, réalisées sur les liquides physiologiques (sang, salive, urine) ou sur l’eau de consommation, permettent de situer précisément l’état du milieu intérieur et de comprendre s’il favorise la santé ou la maladie.
Le premier paramètre est le pH, qui mesure l’acidité ou l’alcalinité d’un liquide. Le pH varie de 0 à 14 : un pH inférieur à 7 indique un milieu acide, tandis qu’un pH supérieur à 7 signale un milieu alcalin (ou basique). Pour Vincent, le pH sanguin idéal se situe autour de 7,1, légèrement acide, contrairement aux normes médicales conventionnelles qui le placent plutôt à 7,4. Cette différence peut sembler minime, mais elle est significative : un pH trop élevé révèle déjà, selon Vincent, un début d’alcalose qui traduit un déséquilibre du terrain. Un pH trop bas, en revanche, signale une acidose, c’est-à-dire une surcharge en ions hydrogène (protons H+) qui acidifient les tissus et perturbent le fonctionnement cellulaire. Le pH nous renseigne donc sur l’équilibre acido-basique de l’organisme, un équilibre essentiel à la vie.
Le deuxième paramètre est le rH2, ou facteur d’oxydo-réduction. Ce paramètre, plus complexe, mesure la capacité d’un milieu à capter ou à céder des électrons. Il reflète le degré d’oxydation ou de réduction d’une solution. Un rH2 élevé (supérieur à 28) indique un milieu oxydé, riche en oxygène et en radicaux oxydants. Un rH2 bas (inférieur à 28) révèle un milieu réduit, pauvre en oxygène et propice aux fermentations. Le rH2 idéal pour un organisme en bonne santé se situe entre 21 et 23. Au-delà, le terrain devient trop oxydé et s’use prématurément ; en deçà, il devient trop réducteur et favorise les processus anaérobies comme la fermentation. Le rH2 est un indicateur précieux de la vitalité et de l’oxygénation des tissus : il nous dit si les cellules respirent correctement ou si elles basculent vers des métabolismes dégénératifs.
Le troisième paramètre est la résistivité, notée ρ (rho) ou r0, exprimée en ohms par centimètre. Elle mesure la capacité d’un liquide à conduire l’électricité, ce qui dépend directement de sa concentration en minéraux et en électrolytes dissous. Plus un liquide contient de minéraux, plus il conduit facilement le courant, et plus sa résistivité est faible. À l’inverse, une eau pure, peu minéralisée, présente une résistivité élevée. Pour Vincent, une résistivité élevée dans les liquides physiologiques (sang, urine) est favorable à la santé, car elle indique que l’organisme élimine correctement ses déchets minéraux et n’est pas encrassé. Une résistivité trop basse révèle au contraire une surcharge minérale qui ralentit les échanges cellulaires, obstrue les tissus et empêche les cellules de fonctionner harmonieusement. La résistivité nous informe donc sur la capacité d’élimination de l’organisme et sur la pureté de son milieu intérieur.
En combinant ces trois paramètres — pH, rH2 et résistivité —, Vincent a créé un véritable système de coordonnées bioélectriques qui permet de situer précisément le terrain biologique sur un diagramme. Ce diagramme révèle quatre grandes zones correspondant à quatre types de terrain : acide-oxydé, acide-réduit, alcalin-oxydé et alcalin-réduit. Chaque zone favorise le développement de certaines pathologies : infections, inflammations, dégénérescences ou cancers. Grâce à cette cartographie, il devient possible de comprendre où se situe un individu et d’agir en conséquence pour restaurer l’équilibre de son terrain.

3. La bioélectronique : révélateur du terrain, miroir de l’état de santé
Pour Louis-Claude Vincent, la maladie n’apparaît jamais par hasard. Elle est toujours la conséquence d’un déséquilibre du terrain biologique. Cette idée rejoint la célèbre affirmation de Claude Bernard : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout. » Ce que Vincent a apporté de nouveau, c’est la possibilité de mesurer objectivement ce terrain grâce à ses trois paramètres bioélectriques.
Selon Vincent, un organisme en bonne santé présente un terrain légèrement acide (pH sanguin autour de 7,1), légèrement réducteur (rH2 entre 21 et 23) et peu minéralisé (résistivité élevée). Dans ces conditions, les cellules respirent harmonieusement, les échanges métaboliques se font correctement, et le système immunitaire fonctionne de façon optimale. L’organisme dispose alors de toutes les ressources nécessaires pour maintenir son homéostasie et se défendre contre les agressions extérieures.
Mais lorsque ce terrain se déséquilibre, tout bascule. Un excès d’acidité (pH trop bas) créé par une alimentation dénaturée, un stress chronique ou une accumulation de toxines perturbe les enzymes et ralentit les processus de régénération. Un rH2 trop bas (milieu trop réducteur) indique un manque d’oxygénation et favorise les fermentations anaérobies, exactement comme l’a montré Otto Warburg dans ses travaux sur le cancer. Une résistivité trop faible (surcharge minérale) révèle un encrassement des tissus et une incapacité de l’organisme à éliminer ses déchets, ce qui crée un terrain propice aux maladies dégénératives.
Vincent a constaté, après des milliers de mesures réalisées sur des personnes malades, que chaque type de pathologie correspond à une zone spécifique du diagramme bioélectronique. Les infections virales et bactériennes se développent dans un terrain alcalin et oxydé. Les inflammations chroniques apparaissent dans un terrain alcalin et réduit. Les dégénérescences, dont le cancer fait partie, surviennent dans un terrain acide et réduit. Cette cartographie permet de comprendre qu’un même individu ne développera pas n’importe quelle maladie : tout dépend de l’état de son terrain biologique au moment où les facteurs de stress deviennent trop importants.
L’intérêt majeur de la bioélectronique est qu’elle permet d’intervenir en amont, avant que la maladie ne s’installe. En mesurant régulièrement les trois paramètres bioélectriques, il devient possible de détecter les dérives du terrain et de les corriger par des moyens naturels : modification de l’alimentation, amélioration de la qualité de l’eau de boisson, gestion du stress, renforcement de l’élimination des toxines. Cette approche préventive, fondée sur la restauration de l’équilibre du terrain, s’inscrit pleinement dans la philosophie de la santé naturelle.
Vincent a également mis en évidence un point essentiel : les interventions médicales conventionnelles (médicaments, vaccins, chimiothérapie) déplacent systématiquement le terrain vers des zones défavorables. Plutôt que de restaurer l’équilibre, elles l’aggravent en acidifiant davantage le milieu intérieur, en surchargeant l’organisme en minéraux indésirables et en perturbant les processus d’oxydo-réduction. Cette observation rejoint l’idée que la véritable guérison ne peut venir que d’une restauration des équilibres physiologiques naturels, et non de l’introduction de substances étrangères et toxiques dans le corps.

4. Le cancer vu comme une crise d’acidose de l’organisme
Dans la cartographie bioélectronique établie par Vincent, le cancer occupe une zone très précise du diagramme : un terrain à la fois acide, réducteur et saturé en minéraux. Autrement dit, le cancer se développe dans un milieu où le pH est trop bas (acidose), où le rH2 est insuffisant (manque d’oxygénation) et où la résistivité est effondrée (surcharge minérale).
Pour Vincent, cette triple déviation du terrain n’est pas un hasard. Elle résulte d’une accumulation de déséquilibres qui finissent par créer des conditions incompatibles avec le fonctionnement cellulaire normal. L’acidose, en particulier, joue un rôle central dans l’apparition du cancer. Lorsque le milieu intérieur devient trop acide, les enzymes qui régulent le métabolisme cellulaire ne peuvent plus fonctionner correctement. Les membranes cellulaires perdent leur perméabilité, les échanges ioniques sont perturbés, et les mitochondries — ces petites centrales énergétiques qui produisent l’ATP grâce à l’oxygène — voient leur activité compromise.
Cette acidose profonde crée un environnement où l’oxygène ne peut plus être utilisé efficacement. Les cellules, privées de leur capacité de respiration aérobie, se tournent alors vers un métabolisme de survie : la fermentation du glucose. C’est exactement ce qu’Otto Warburg avait découvert en étudiant le métabolisme des cellules cancéreuses. Vincent, en mesurant objectivement le terrain, a confirmé et complété cette découverte : le cancer n’est pas une maladie génétique mystérieuse, mais la conséquence logique d’un milieu intérieur devenu incompatible avec la respiration cellulaire normale.
La surcharge minérale, révélée par une résistivité effondrée, aggrave encore la situation. Cette surcharge provient de l’accumulation de minéraux inorganiques non assimilables, présents dans l’eau du robinet (calcaire, chlore, fluor), dans les aliments transformés et dans certains médicaments. Ces minéraux encrassent les tissus, obstruent les vaisseaux sanguins et lymphatiques, et empêchent les cellules de recevoir l’oxygène et les nutriments dont elles ont besoin. Ils contribuent également à acidifier le terrain en perturbant l’équilibre ionique de l’organisme.
Le caractère réducteur du terrain cancéreux (rH2 bas) traduit un appauvrissement en oxygène disponible. Dans un tel milieu, les radicaux libres oxydants manquent, et paradoxalement, c’est ce manque d’oxydation qui favorise les fermentations pathologiques. Les cellules cancéreuses prospèrent dans cet environnement peu oxygéné, où elles peuvent fermenter le glucose sans être gênées par les processus d’oxydation qui caractérisent un métabolisme sain.
Vincent a démontré que cette triple déviation — acidose, réduction, minéralisation excessive — est retrouvée systématiquement chez les personnes atteintes de cancer. Plus le cancer est avancé, plus les mesures bioélectriques s’éloignent des valeurs de santé. Cette observation confirme que le cancer n’est pas une maladie qui surgit brutalement, mais le point culminant d’une dégradation progressive du terrain biologique. Elle suggère également qu’en inversant ces déviations, il est possible de créer un environnement défavorable au cancer et favorable à la régénération cellulaire.
5. La nécessité de rétablir l’équilibre acido-basique pour guérir le cancer
L’approche de Louis-Claude Vincent ne consiste pas à détruire les cellules cancéreuses par des traitements agressifs, mais à restaurer l’équilibre du terrain biologique pour que le cancer ne puisse plus se développer. Cette vision rejoint celle d’Otto Warburg et de nombreux autres chercheurs qui ont compris que le cancer est avant tout une maladie du terrain.
Pour rétablir cet équilibre, la première priorité est de corriger l’acidose. Cela passe par une modification radicale de l’alimentation : éliminer les aliments acidifiants (sucres raffinés, céréales transformées, protéines animales en excès, produits laitiers, additifs chimiques) et privilégier les aliments alcalinisants (légumes verts, fruits mûrs, graines germées, jus frais). L’objectif est de réduire la charge en ions hydrogène (protons H+) qui acidifient les tissus et de fournir à l’organisme les minéraux organiques et les électrons dont il a besoin pour rétablir son pH optimal.
La seconde étape consiste à réoxygéner l’organisme en augmentant le rH2. Cela implique de pratiquer une respiration profonde et consciente, de s’exposer régulièrement à l’air pur et au soleil, de pratiquer une activité physique modérée qui stimule la circulation sanguine et l’oxygénation des tissus. Le jeûne ou la restriction calorique jouent également un rôle déterminant : en privant temporairement le corps de glucose, on oblige les cellules à réactiver leur respiration mitochondriale et à abandonner la fermentation. Cette réactivation de la respiration cellulaire est la clé pour inverser l’effet Warburg et permettre aux cellules de retrouver un métabolisme normal.
La troisième action essentielle est de réduire la charge minérale en améliorant la résistivité. Vincent a insisté sur l’importance de boire une eau de très faible minéralisation, proche de l’eau de pluie ou de source pure. Cette eau, légèrement acide et peu conductrice, permet de drainer les minéraux en excès et de nettoyer les tissus en profondeur. Elle facilite l’élimination des toxines par les reins et contribue à restaurer la fluidité des liquides physiologiques. En parallèle, il est indispensable de soutenir les émonctoires (foie, reins, intestins, peau, poumons) pour accélérer l’évacuation des déchets accumulés.
Louis-Claude Vincent a également mis en garde contre les traitements médicaux conventionnels qui aggravent le déséquilibre du terrain. La chimiothérapie, par exemple, introduit des toxiques puissants qui acidifient davantage l’organisme, surchargent le foie et les reins, et perturbent durablement les équilibres bioélectriques. Plutôt que de restaurer la santé, ces traitements enfoncent le terrain dans une zone encore plus défavorable, ce qui explique pourquoi les récidives sont si fréquentes.
En revanche, lorsque le terrain est correctement rééquilibré — pH harmonisé, oxygénation restaurée, charge minérale allégée —, les cellules cancéreuses se retrouvent dans un environnement qui ne leur convient plus. Privées de leur milieu acide et anaérobie, elles ne peuvent plus fermenter efficacement et perdent leur avantage prolifératif. Parallèlement, le système immunitaire, libéré du stress oxydatif et de l’encrassement toxique, retrouve sa capacité à reconnaître et à éliminer les cellules anormales. Le corps peut alors enclencher son processus d’auto-guérison naturelle.
Cette approche demande du temps, de la patience et un engagement total. Elle implique de modifier radicalement son mode de vie, de s’éloigner des facteurs cancérigènes (pollution, stress, malbouffe, sédentarité) et d’adopter des habitudes cancérifuges (alimentation vivante, eau pure, respiration consciente, mouvement, contact avec la nature, paix intérieure). Mais elle offre une voie de guérison respectueuse, non violente et durable, qui permet au corps de retrouver son équilibre profond et sa vitalité originelle.
Conclusion : il est possible de choisir de rééquilibrer l’organisme pour soigner un cancer
Louis-Claude Vincent, par sa rigueur scientifique et son génie de l’observation, a apporté une contribution majeure à la compréhension du cancer. En développant la bioélectronique, il a donné aux praticiens de santé naturelle un outil objectif et reproductible pour mesurer le terrain biologique et identifier les déséquilibres qui favorisent la maladie. Ses travaux confirment et complètent ceux d’Otto Warburg : le cancer n’est pas une anomalie génétique mystérieuse, mais la conséquence d’un milieu intérieur profondément déséquilibré — trop acide, trop réducteur, trop minéralisé.
Cette vision du cancer comme maladie du terrain ouvre une voie de guérison radicalement différente de l’approche conventionnelle. Plutôt que de chercher à détruire les cellules cancéreuses par des traitements agressifs qui aggravent le déséquilibre, il s’agit de restaurer les conditions physiologiques qui permettent aux cellules de respirer correctement et au système immunitaire de fonctionner harmonieusement. En corrigeant l’acidose, en réoxygénant l’organisme et en allégeant la charge toxique, le corps retrouve naturellement son équilibre et sa capacité d’auto-guérison.
C’est dans cet esprit que le centre ¡Viva la Vida! accompagne les enfants cancéreux vers la régénération naturelle de leur santé. En leur offrant un environnement cancérifuge — air pur de la montagne, eau de source peu minéralisée, alimentation vivante et alcalinisante, exposition au soleil, activité physique douce, absence de stress — nous créons les conditions bioélectriques favorables à la restauration du terrain. Les mesures que Louis-Claude Vincent a mises au point il y a plus de soixante-dix ans demeurent d’une actualité brûlante : elles nous rappellent que la santé ne se trouve pas dans les médicaments, mais dans le respect des lois naturelles de la vie.


« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.
Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.
En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »
Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.
Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :
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La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :
Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.
Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.
Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.
Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.
Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.
Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »
