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Approches naturelles du cancer par des scientifiques
La bioélectronique de Louis-Claude Vincent
Le scientifique visionnaire qui a montré que le cancer ne peut se développer et prospérer qu’en milieu acide, réducteur et saturé en minéraux
Louis-Claude Vincent, ingénieur hydrologue de formation, a consacré sa vie à comprendre comment la qualité de l’eau influence la santé humaine. À force d’observer les corrélations entre les caractéristiques physico-chimiques de l’eau des communes françaises et l’état de santé de leurs habitants, il a développé une méthode scientifique rigoureuse : la bioélectronique. Celle-ci permet de mesurer objectivement le terrain biologique à travers trois paramètres fondamentaux : le pH (acidité ou alcalinité), le rH2 (potentiel d’oxydo-réduction) et la résistivité (concentration en minéraux). Ses travaux ont révélé que le cancer apparaît dans un terrain profondément acide, sur-réduit et saturé en minéraux, un milieu où les cellules ne peuvent plus respirer correctement et basculent vers la fermentation. En identifiant ces déséquilibres avec précision, Louis-Claude Vincent a ouvert la voie à une approche préventive et curative fondée sur la restauration de l’équilibre du terrain, rejoignant ainsi les découvertes d’Otto Warburg sur le métabolisme du cancer.
1. Un ingénieur devenu chercheur au service de la santé
Né en 1906 dans le sud de la France, Louis-Claude Vincent entreprend des études d’ingénieur et se spécialise en hydrologie. Dès 1926, il travaille pour le compte de centaines de communes françaises sur des projets d’adduction d’eau potable et d’assainissement. Son métier l’amène à analyser quotidiennement la qualité des eaux destinées à la consommation humaine, et c’est là que son regard s’aiguise.
Au fil de ses missions, Vincent remarque une corrélation troublante : dans certaines régions où l’eau présente des caractéristiques physico-chimiques particulières, les habitants semblent plus touchés par certaines maladies, notamment le cancer. Intrigué par ces observations, il décide d’aller plus loin et commence à étudier systématiquement le lien entre la qualité de l’eau et la santé des populations.
Cette démarche le conduit à développer une approche scientifique totalement nouvelle. Plutôt que de se contenter des analyses chimiques classiques qui se limitent à identifier les substances présentes dans l’eau, Vincent cherche à comprendre les propriétés énergétiques et électromagnétiques des liquides. Il pressent que ces caractéristiques invisibles jouent un rôle déterminant dans la capacité de l’eau à soutenir ou, au contraire, à affaiblir la vie.
En 1948, après des années de recherches et de mesures minutieuses, il fonde officiellement la bioélectronique, une discipline qui vise à évaluer objectivement le terrain biologique des êtres vivants. Cette méthode ne se limite pas à l’eau : elle s’applique également aux liquides physiologiques comme le sang, la salive et l’urine. Vincent passe ainsi d’ingénieur hydrologue à véritable chercheur en biologie, ouvrant une voie originale qui relie chimie, physique et médecine préventive.
En 1954, il devient professeur et enseigne sa méthode à l’École d’anthropologie de Paris. Il collabore avec le docteur Jeanne Rousseau, médecin passionnée par les approches naturelles, et ensemble ils affinent la bioélectronique en l’appliquant à des milliers de patients. Leurs travaux permettent de dresser des cartographies précises du terrain biologique et de mieux comprendre les conditions qui favorisent la santé ou, au contraire, la maladie.
Malgré la rigueur scientifique de ses recherches, Vincent se heurte rapidement à l’incompréhension et même à l’hostilité du monde médical et industriel de son époque. Ses conclusions dérangent : elles remettent en question la qualité de l’eau distribuée dans les réseaux publics et suggèrent que certaines pratiques médicales peuvent déséquilibrer durablement le terrain biologique. Refusant de renoncer à ses convictions, il poursuit néanmoins ses travaux avec acharnement jusqu’à sa mort en 1988, laissant derrière lui un héritage scientifique considérable mais largement méconnu.

2. Des analyses pour comprendre le terrain biologique
La bioélectronique de Louis-Claude Vincent repose sur un principe simple mais révolutionnaire : mesurer trois paramètres physico-chimiques fondamentaux pour évaluer la qualité du terrain biologique. Ces trois mesures permettent d’aller au-delà de l’analyse chimique classique qui se contente d’identifier les substances présentes. Louis-Claude Vincent cherchait à comprendre les propriétés énergétiques et électromagnétiques des liquides, ces caractéristiques invisibles qui jouent un rôle déterminant dans la capacité d’un milieu à soutenir ou à affaiblir la vie.
Les trois paramètres bioélectriques
Le premier paramètre est le pH, qui mesure l’acidité ou l’alcalinité d’un liquide sur une échelle de 0 à 14. Un pH inférieur à 7 indique un milieu acide, tandis qu’un pH supérieur à 7 signale un milieu alcalin (ou basique). Cette mesure nous renseigne sur l’équilibre acido-basique, un équilibre fondamental pour tous les processus biochimiques du vivant. Les enzymes, les protéines et les réactions cellulaires fonctionnent dans des plages de pH très précises. Un déséquilibre acido-basique perturbe profondément le métabolisme et crée les conditions favorables à la maladie.
Le deuxième paramètre est le rH2, ou potentiel d’oxydo-réduction. Ce paramètre mesure la capacité d’un milieu à capter ou à céder des électrons, reflétant ainsi son degré d’oxydation ou de réduction sur une échelle de 0 à 42. Un rH2 élevé (supérieur à 28) indique un milieu oxydé, caractérisé par la présence de radicaux libres et un stress oxydatif. Un rH2 bas (inférieur à 28) révèle un milieu réduit, riche en électrons disponibles et en antioxydants naturels. Le rH2 est un indicateur précieux de la vitalité énergétique : il nous dit si un organisme dispose d’assez d’électrons pour maintenir ses fonctions vitales et se protéger du vieillissement prématuré, ou s’il bascule vers un état d’oxydation excessive qui accélère la dégénérescence cellulaire.
Le troisième paramètre est la résistivité, notée ρ (rho), exprimée en ohms par centimètre (Ω.cm). Elle mesure la capacité d’un liquide à conduire l’électricité, ce qui dépend directement de sa concentration en minéraux et en électrolytes dissous. Plus un liquide contient de minéraux, plus il conduit facilement le courant électrique, et plus sa résistivité est faible. À l’inverse, une eau pure et peu minéralisée présente une résistivité élevée. Pour Louis-Claude Vincent, une résistivité élevée dans les liquides physiologiques est favorable à la santé, car elle indique que l’organisme élimine correctement ses déchets minéraux et n’est pas encrassé. Une résistivité trop basse révèle une surcharge en sels inorganiques, métaux lourds et résidus toxiques qui ralentissent les échanges cellulaires et obstruent les tissus.
L’eau parfaite selon Louis-Claude Vincent
Louis-Claude Vincent a consacré une grande partie de ses recherches à définir ce qu’il appelait « l’eau parfaite », c’est-à-dire une eau dont les caractéristiques bioélectriques soutiennent optimalement la vie et la santé. Selon ses mesures, l’eau idéale présente les caractéristiques suivantes :
• pH légèrement acide : entre 6,0 et 6,8, proche de celui d’une eau de source naturelle
• rH2 bas : entre 25 et 28, indiquant un pouvoir réducteur modéré qui protège contre l’oxydation
• Résistivité élevée : supérieure à 6 000 Ω.cm, révélant une très faible charge minérale
Cette eau parfaite se trouve naturellement dans certaines eaux de source pure, dans l’eau de pluie non polluée, et peut être obtenue par osmose inverse suivie d’une légère dynamisation. À l’inverse, l’eau du robinet, généralement alcaline (pH > 7), oxydée (rH2 > 30) et chargée en minéraux inorganiques (résistivité basse), s’éloigne des critères de Louis-Claude Vincent. Cette eau, bien qu’elle réponde aux normes sanitaires de potabilité, ne soutient pas optimalement la vitalité cellulaire et peut même contribuer, sur le long terme, à l’encrassement de l’organisme.
Les aliments au regard de la bioélectronique
Louis-Claude Vincent a également appliqué sa méthode à l’analyse des aliments, révélant que ce que nous mangeons influence directement les trois paramètres bioélectriques de notre terrain.
Du point de vue du pH, les aliments se divisent en deux catégories. Les aliments acidifiants sont principalement les produits d’origine animale (viandes, poissons, œufs, produits laitiers), les céréales raffinées, les aliments surcuits ou transformés industriellement, et les produits dévitalisés par les procédés de conservation. Ces aliments laissent dans l’organisme des résidus acides qui surchargent les systèmes tampon du corps et acidifient progressivement les tissus. À l’opposé, les aliments alcalinisants sont essentiellement les végétaux frais : légumes verts, fruits mûrs, graines germées, algues. Ces aliments apportent des minéraux organiques facilement assimilables qui soutiennent l’équilibre acido-basique et aident à neutraliser l’acidité métabolique.
Du point de vue du rH2, les aliments se distinguent par leur teneur en antioxydants ou leur tendance oxydante. Les radicaux libres sont des molécules instables qui arrachent des électrons aux cellules saines, provoquant un stress oxydatif et des dommages cellulaires. Les aliments transformés, frits, surcuits ou conservés avec des additifs chimiques génèrent des radicaux libres et augmentent le rH2 de l’organisme. À l’inverse, les antioxydants sont des molécules capables de donner des électrons sans devenir instables elles-mêmes, protégeant ainsi les cellules du stress oxydatif. On les trouve en abondance dans les fruits et légumes frais et crus, les graines oléagineuses, les herbes aromatiques et les jus frais. Ces aliments vivants maintiennent un rH2 bas et préservent la vitalité cellulaire.
Du point de vue de la résistivité, les aliments se différencient par leur charge en toxiques. Un aliment sain, cultivé en agriculture biologique sur un sol vivant et récolté à maturité, contient principalement de l’eau structurée et des nutriments biodisponibles. Sa résistivité est élevée, reflétant sa pureté. À l’opposé, un aliment dévitalisé, cultivé avec des pesticides et des engrais chimiques, récolté avant maturité, transformé industriellement et enrichi d’additifs, accumule des résidus toxiques : pesticides, métaux lourds, conservateurs, colorants. Ces substances surchargent l’organisme en éléments non assimilables qui abaissent la résistivité des liquides corporels et encrassent les tissus. Cette même logique s’applique aux médicaments chimiques de synthèse, qui introduisent dans le corps des molécules étrangères hautement minéralisées, perturbant durablement les équilibres bioélectriques.
En combinant ces trois paramètres, Louis-Claude Vincent a créé un véritable système de coordonnées permettant d’évaluer la qualité bioélectrique de l’eau, des aliments et, comme nous allons le voir, de l’état de santé d’un organisme vivant.
3. La bioélectronique : révélateur du terrain, miroir de l’état de santé
Pour Louis-Claude Vincent, la maladie n’apparaît jamais par hasard. Elle est toujours la conséquence d’un déséquilibre du terrain biologique. Cette idée rejoint la célèbre affirmation de Claude Bernard : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout. » Ce que Vincent a apporté de nouveau, c’est la possibilité de mesurer objectivement ce terrain grâce à ses trois paramètres bioélectriques.
Selon Louis-Claude Vincent, un organisme en bonne santé présente un terrain légèrement alcalin (pH sanguin entre 7,35 et 7,45), légèrement réducteur (rH2 entre 21 et 23) et peu minéralisé (résistivité élevée, 175-210 Ω.cm). Dans ces conditions, les cellules respirent harmonieusement, les échanges métaboliques se font correctement, et le système immunitaire fonctionne de façon optimale. L’organisme dispose alors de toutes les ressources nécessaires pour maintenir son homéostasie et se défendre contre les agressions extérieures.
Mais lorsque ce terrain se déséquilibre — sous l’accumulation de toxines, le stress chronique, une mauvaise alimentation, une pollution croissante — tout bascule. Les toxines s’accumulent et acidifient les tissus cellulaires (même si le sang tente de compenser en devenant légèrement plus alcalin). Parallèlement, ces toxines créent un stress oxydatif qui augmente le rH2 bien au-delà de 23, tandis que la surcharge minérale fait s’effondrer la résistivité. Un terrain qui glisse progressivement hors des zones de santé devient un terrain « alcalin oxydé » — caractérisé par un pH sanguin légèrement alcalin mais un rH2 élevé et une résistivité basse — ce qui place l’individu dans une zone de vulnérabilité accrue.

Louis-Claude Vincent a constaté, après des milliers de mesures réalisées sur des personnes malades, que chaque type de pathologie correspond à une zone spécifique du diagramme bioélectronique. Cette cartographie permet de comprendre qu’un même individu ne développera pas n’importe quelle maladie : tout dépend de l’état de son terrain biologique au moment où les facteurs de stress deviennent trop importants.
L’intérêt majeur de la bioélectronique est qu’elle permet d’intervenir en amont, avant que la maladie ne s’installe. En mesurant régulièrement les trois paramètres bioélectriques, il devient possible de détecter les dérives du terrain et de les corriger par des moyens naturels : modification de l’alimentation, amélioration de la qualité de l’eau de boisson, gestion du stress, renforcement de l’élimination des toxines. Cette approche préventive, fondée sur la restauration de l’équilibre du terrain, s’inscrit pleinement dans la philosophie de la santé naturelle.

Louis-Claude Vincent a également mis en évidence un point essentiel : les interventions médicales conventionnelles déplacent systématiquement le terrain vers des zones défavorables. Plutôt que de restaurer l’équilibre, elles acidifient davantage le milieu intérieur, surchargent l’organisme en minéraux indésirables et perturbent les processus d’oxydo-réduction. Cette observation rejoint l’idée que la véritable guérison ne peut venir que d’une restauration des équilibres physiologiques naturels.
4. Le cancer vu comme une crise d’acidose tissulaire et de stress oxydatif de l’organisme
Pour comprendre le cancer selon Louis-Claude Vincent, il faut bien saisir le paradoxe central de cette pathologie : le cancer apparaît dans un environnement où le sang devient alcalin par compensation, mais où les tissus cellulaires s’acidifient profondément, tandis que le stress oxydatif s’intensifie et que la charge toxique s’accumule.
Voici la dynamique exacte : lorsque l’accumulation de toxines dépasse ce que l’organisme peut gérer, ces toxines s’accumulent dans les tissus, les acidifient et créent un stress oxydatif majeur. Les cellules cancéreuses prospèrent précisément dans cet environnement : acidité tissulaire, stress oxydatif intense, charge toxique élevée. Pour compenser ce déséquilibre qui menacerait la vie immédiatement, l’organisme réagit en mobilisant son système tampon : les reins produisent des bicarbonates qui neutralisent l’acidité tissulaire accumulée, ce qui fait monter le pH sanguin vers 7,4-7,8, même si les tissus restent profondément acides. Le sang tente ainsi de se protéger lui-même en devenant plus alcalin, même si cette compensation signale une urgence biologique.
Cette dissociation entre le sang (qui se mesure facilement) et le terrain cellulaire (qui est la vraie réalité métabolique) est fondamentale pour comprendre les mesures bioélectriques chez un patient cancéreux. C’est exactement ce qu’Otto Warburg avait découvert en étudiant le métabolisme des cellules cancéreuses : dans cet environnement acide, oxydatif et toxique, les cellules ne peuvent plus respirer correctement. Elles basculent alors vers la fermentation du glucose pour survivre, produisant de l’acide lactique en abondance, ce qui aggrave l’acidose locale. Louis-Claude Vincent, en mesurant objectivement le terrain bioélectrique, a confirmé et complété cette découverte.
L’acidose tissulaire révélée par les mesures de pH
Le pH des trois liquides biologiques révèle de façon saisissante ce paradoxe. Chez une personne en excellente santé, le pH sanguin peut être légèrement plus bas (7,07-7,1) lorsqu’elle pratique une restriction calorique ou un jeûne intermittent, états qui favorisent une acido-cétose physiologique bénéfique. Ce pH légèrement acide témoigne d’un métabolisme optimal où les cellules utilisent efficacement les corps cétoniques et maintiennent une respiration mitochondriale performante. C’est le terrain observé chez les sportifs de haut niveau et les personnes vivant dans des conditions naturelles optimales.
Chez une personne en bonne santé moyenne, le pH sanguin se situe entre 7,35 et 7,45, légèrement alcalin. Cette fourchette représente l’équilibre standard de la population générale, où l’organisme maintient son homéostasie sans compensation excessive.
Mais chez un malade cancéreux, le pH sanguin s’élève au-delà de 7,45, atteignant souvent 7,6 voire 7,8. Cette alcalose sanguine n’est pas un signe de santé, mais une compensation par mécanisme tampon face à l’acidose tissulaire profonde. Simultanément, l’urine devient très acide (pH < 5,8), révélant la tentative désespérée des reins d’éliminer l’excès d’acidité. La salive s’acidifie également (pH < 6,5), reflétant l’acidification générale des fluides extracellulaires et le déséquilibre métabolique global.
Le tableau suivant synthétise ces observations :
Comparaison des valeurs de pH selon la bioélectronique de Vincent
|
Liquide biologique 8317_431ff5-79> |
pH d’une |
Interprétation de l’état de pleine santé 8317_d58978-d7> |
pH normal |
Interprétation de l’état normal 8317_fd92da-e5> |
pH typique d’un malade cancéreux 8317_4e0273-28> |
Interprétation de l’état cancéreux 8317_c82227-0d> |
|---|---|---|---|---|---|---|
|
Sang 8317_7b01fd-fb> |
7,07 à 7,1 8317_757f63-be> |
pH légèrement plus acide lié à état d’acido-cétose sain, métabolisme optimal 8317_4aecd1-61> |
7,35 – 7,45 8317_044228-74> |
Terrain légèrement alcalin, pH stable, bon équilibre 8317_cbb413-25> |
7,4 – 7,8 |
Alcalose sanguine : compensation par mécanisme tampon face à l’acidose tissulaire 8317_b01ebb-d2> |
|
Urine 8317_d0c2d8-df> |
6,0 à 6,5 8317_14d247-58> |
Bonne élimination, milieu acide contrôlé, métabolisme adapté 8317_149540-94> |
5,8 – 6,8 8317_4bd393-53> |
Milieu faiblement acide, élimination optimale des déchets 8317_8d307c-b0> |
< 5,8 |
Acidose urinaire, élimination insuffisante des toxines acides accumulées 8317_cab116-9a> |
|
Salive 8317_502ee8-ec> |
|
Milieu buccal sain, bon équilibre métabolique 8317_790be3-73> |
6,5 – 7,0 8317_571cd4-8a> |
Terrain légèrement acide, bon équilibre métabolique 8317_f6aac4-64> |
< 6,5 |
Acidification des fluides extracellulaires, terrain déséquilibré 8317_fc349e-f4> |
Le stress oxydatif révélé par les mesures de rH2
Le potentiel d’oxydo-réduction (rH2) des trois liquides biologiques révèle une autre facette essentielle du terrain cancéreux : le stress oxydatif massif qui accompagne la maladie.
Chez une personne en excellente santé, le rH2 sanguin se situe entre 20 et 21, reflétant un terrain réducteur sain où les cellules disposent d’électrons en abondance pour se protéger du stress oxydatif. L’urine (rH2 21-22) et la salive (rH2 21,5-23) présentent également des valeurs basses, témoignant d’un métabolisme énergétique optimal.
Chez une personne en bonne santé moyenne, le rH2 sanguin se situe entre 21 et 23, la urine entre 23 et 25, et la salive entre 21 et 25,5. Ces valeurs légèrement plus élevées indiquent un équilibre métabolique correct, même si l’organisme fait face à davantage de stress oxydatif que dans un état d’excellence.
Mais chez un malade cancéreux, le rH2 sanguin s’élève à 28 ou au-delà, révélant un sang fortement oxydé. Ce n’est pas que les cellules cancéreuses produisent directement cette oxydation sanguine — c’est encore une fois une compensation. Au niveau tissulaire, le milieu tumoral est réducteur, pauvre en oxygène, favorisant la fermentation anaérobie. Mais le sang réagit en devenant oxydant pour tenter de compenser ce déficit d’oxygénation locale. Cette oxydation sanguine traduit un stress oxydatif systémique majeur : les membranes cellulaires sont endommagées, les mitochondries sont perturbées, et la dégénérescence s’accélère. L’urine (rH2 > 26) et la salive (rH2 > 26) montrent également une oxydation excessive, reflétant l’épuisement des systèmes antioxydants de l’organisme.
Le tableau suivant synthétise ces observations :
Comparaison des valeurs de rH2 (potentiel redox) selon Vincent
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Liquide biologique 8317_aa7876-d7> |
|
Interprétation de l’état de pleine santé 8317_1193e1-04> |
rH2 normal |
Interprétation de l’état normal 8317_206c08-19> |
rH2 typique |
Interprétation de l’état cancéreux 8317_bb0d1f-81> |
|---|---|---|---|---|---|---|
|
Sang 8317_bd48d4-0f> |
20 à 21 8317_ee89c1-df> |
Terrain réducteur sain, équilibre optimal des échanges 8317_2f3e60-9f> |
21 – 23 8317_73571c-ed> |
Terrain réducteur équilibré, bon potentiel oxydatif 8317_cc03ab-7b> |
≥ 28 (élevé, oxydation forte) 8317_6c2ccc-f7> |
Stress oxydatif majeur, hypoxie, dégénérescence cellulaire 8317_dc46b3-f8> |
|
Urine 8317_234eec-55> |
21 à 22 8317_67dc8b-e6> |
Bon renouvellement, milieu métabolique sain 8317_9486e8-4c> |
23 – 25 8317_b58b6c-42> |
Bonne élimination, milieu stable réducteur 8317_7f8aae-56> |
> 26 8317_c4e2d5-66> |
Élimination perturbée, terrain oxydé 8317_bc500c-a9> |
|
Salive 8317_51b4c8-de> |
21,5 à 23 8317_880983-8d> |
Variable, souvent plus élevée 8317_10824e-e1> |
21 – 23
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Équilibre métabolique stable 8317_e7236b-0a> |
> 26 8317_e9b600-96> |
Dégénérescence du terrain biologique |
La surcharge toxique révélée par les mesures de résistivité
La résistivité des trois liquides biologiques révèle la troisième dimension du terrain cancéreux : l’encrassement toxique et minéral de l’organisme.
Chez une personne en excellente santé, la résistivité sanguine se situe entre 190 et 210 Ω.cm, indiquant un sang fluide, riche en électrolytes organiques bien assimilés, avec une microcirculation optimale. L’urine (40-65 Ω.cm) et la salive (190-210 Ω.cm) présentent également des valeurs cohérentes avec une élimination efficace et un milieu buccal équilibré.
Chez une personne en bonne santé moyenne, la résistivité sanguine se situe entre 175 et 210 Ω.cm, l’urine entre 29 et 70 Ω.cm, et la salive entre 180 et 220 Ω.cm. Ces valeurs reflètent un équilibre électrolytique normal et une capacité d’élimination correcte.
Mais chez un malade cancéreux, la résistivité sanguine s’effondre à 100-140 Ω.cm, révélant une surcharge minérale et toxique. Cette résistivité basse indique que le sang est encombré par l’accumulation de sels inorganiques, de métaux lourds, de résidus médicamenteux et de déchets métaboliques que l’organisme ne parvient plus à éliminer. Cette surcharge ralentit les échanges cellulaires, obstrue les capillaires, perturbe la communication entre les cellules et crée un terrain propice à la dégénérescence. L’urine (résistivité < 29 Ω.cm) révèle une filtration rénale insuffisante et une accumulation toxique. La salive (résistivité > 220 Ω.cm) montre un déséquilibre hydrique local et une acidification du terrain buccal.
Le tableau suivant synthétise ces observations :
Comparaison des valeurs de résistivité selon Vincent
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Liquide biologique 8317_032dca-ba> |
Résistivité d’une |
Interprétation de l’état de pleine santé 8317_32effa-21> |
Résistivité normale |
Interprétation de l’état normal 8317_c83b05-e4> |
Résistivité typique d’un malade cancéreux 8317_2149b6-bd> |
Interprétation de l’état cancéreux 8317_cf8ff9-50> |
|---|---|---|---|---|---|---|
|
Sang 8317_45fa3b-f7> |
|
Sang fluide et riche en électrolytes, microcirculation optimale 8317_f24bb0-b9> |
175 – 210 Ω.cm 8317_c7685c-5e> |
Sang fluide, bonne microcirculation et équilibre électrolytique 8317_c8d41c-90> |
100 à 140 Ω.cm 8317_22e21f-20> |
Sang plus fluide, encrassement, dysfonction électrique et oxydatif Surcharge toxique, encrassement, dégénérescence 8317_600550-08> |
|
Urine 8317_0c71e9-67> |
40 à 65 Ω.cm 8317_1cedb5-2b> |
Bonne fonction rénale, élimination efficace 8317_6ae8ff-0a> |
29 – 70 Ω.cm 8317_a1315e-23> |
Fonction d’élimination optimale 8317_463d43-2f> |
< 29 Ω.cm 8317_e4c269-bc> |
Élimination insuffisante des déchets |
|
Salive 8317_ca47b7-83> |
|
Fluide buccal équilibré, bonne hydratation 8317_9f3b19-2e> |
180 – 220 Ω.cm 8317_413ec0-69> |
Bon état buccal, hydratation équilibrée 8317_bc59ec-df> |
> 220 Ω.cm 8317_c66e65-6a> |
Acidification et toxémie du terrain |
La signature bioélectronique du cancer
Ces trois tableaux révèlent une signature bioélectronique caractéristique du cancer : un sang légèrement alcalin mais fortement oxydé, associé à une surcharge minérale et toxique. C’est cette combinaison — pH alcalin + rH2 élevé + résistivité basse — qui place le cancer dans la zone « alcaline oxydée » du diagramme de Louis-Claude Vincent, en haut à droite. Cette zone reflète un déséquilibre métabolique profond malgré la compensation apparente du pH sanguin.
Cette signature bioélectrique confirme que le cancer n’est pas une anomalie génétique mystérieuse, mais la conséquence logique d’un milieu intérieur profondément déséquilibré — alcalin en apparence au niveau sanguin (par compensation tampon), mais acide en réalité au niveau tissulaire, fortement oxydé et lourdement intoxiqué. Plus le cancer est avancé, plus les mesures bioélectriques s’éloignent des valeurs de santé, confirmant que le cancer est le point culminant d’une dégradation progressive du terrain biologique.
5. La nécessité de rétablir l’équilibre acido-basique pour guérir le cancer
L’approche de Louis-Claude Vincent ne consiste pas à détruire les cellules cancéreuses par des traitements agressifs, mais à restaurer l’équilibre du terrain biologique pour que le cancer ne puisse plus se développer. Cette vision rejoint celle d’Otto Warburg et de nombreux autres chercheurs qui ont compris que le cancer est avant tout une maladie du terrain.
Pour rétablir cet équilibre, la première priorité est de corriger l’acidose. Cela passe par une modification radicale de l’alimentation : éliminer les aliments acidifiants (sucres raffinés, céréales transformées, protéines animales en excès, produits laitiers, additifs chimiques) et privilégier les aliments alcalinisants (légumes verts, fruits mûrs, graines germées, jus frais). L’objectif est de réduire la charge en ions hydrogène (protons H+) qui acidifient les tissus et de fournir à l’organisme les minéraux organiques et les électrons dont il a besoin pour rétablir son pH optimal.
La seconde étape consiste à réoxygéner l’organisme en augmentant le rH2. Cela implique de pratiquer une respiration profonde et consciente, de s’exposer régulièrement à l’air pur et au soleil, de pratiquer une activité physique modérée qui stimule la circulation sanguine et l’oxygénation des tissus. Le jeûne ou la restriction calorique jouent également un rôle déterminant : en privant temporairement le corps de glucose, on oblige les cellules à réactiver leur respiration mitochondriale et à abandonner la fermentation. Cette réactivation de la respiration cellulaire est la clé pour inverser l’effet Warburg et permettre aux cellules de retrouver un métabolisme normal.
La troisième action essentielle est de réduire la charge minérale en améliorant la résistivité. Louis-Claude Vincent a insisté sur l’importance de boire une eau de très faible minéralisation, proche de l’eau de pluie ou de source pure. Cette eau, légèrement acide et peu conductrice, permet de drainer les minéraux en excès et de nettoyer les tissus en profondeur. Elle facilite l’élimination des toxines par les reins et contribue à restaurer la fluidité des liquides physiologiques. En parallèle, il est indispensable de soutenir les émonctoires (foie, reins, intestins, peau, poumons) pour accélérer l’évacuation des déchets accumulés.
Louis-Claude Vincent a également mis en garde contre les traitements médicaux conventionnels qui aggravent le déséquilibre du terrain. La chimiothérapie, par exemple, introduit des toxiques puissants qui acidifient davantage l’organisme, surchargent le foie et les reins, et perturbent durablement les équilibres bioélectriques. Plutôt que de restaurer la santé, ces traitements enfoncent le terrain dans une zone encore plus défavorable, ce qui explique pourquoi les récidives sont si fréquentes.
En revanche, lorsque le terrain est correctement rééquilibré — pH harmonisé, oxygénation restaurée, charge minérale allégée —, les cellules cancéreuses se retrouvent dans un environnement qui ne leur convient plus. Privées de leur milieu acide et anaérobie, elles ne peuvent plus fermenter efficacement et perdent leur avantage prolifératif. Parallèlement, le système immunitaire, libéré du stress oxydatif et de l’encrassement toxique, retrouve sa capacité à reconnaître et à éliminer les cellules anormales. Le corps peut alors enclencher son processus d’auto-guérison naturelle.
Cette approche demande du temps, de la patience et un engagement total. Elle implique de modifier radicalement son mode de vie, de s’éloigner des facteurs cancérigènes (pollution, stress, malbouffe, sédentarité) et d’adopter des habitudes cancérifuges (alimentation vivante, eau pure, respiration consciente, mouvement, contact avec la nature, paix intérieure). Mais elle offre une voie de guérison respectueuse, non violente et durable, qui permet au corps de retrouver son équilibre profond et sa vitalité originelle.
Conclusion : Un éclairage précieux sur le terrain cancéreux et les voies de régénération
Louis-Claude Vincent, par sa rigueur scientifique et son génie de l’observation, a apporté une contribution majeure à la compréhension du cancer. En développant la bioélectronique, il a donné aux chercheurs et praticiens de santé naturelle un outil pour mesurer le terrain biologique et identifier les déséquilibres physiologiques. Ses travaux confirment et complètent ceux d’Otto Warburg : le cancer n’est pas une anomalie génétique mystérieuse, mais la conséquence d’un milieu intérieur profondément déséquilibré — alcalin en apparence au niveau sanguin, acide aux niveaux tissulaire, fortement oxydé et surchargé en toxines.
Cette vision du cancer comme maladie du terrain ouvre des perspectives nouvelles. Plutôt que de chercher à détruire les cellules cancéreuses par des traitements agressifs qui aggravent le déséquilibre, il s’agit de restaurer les conditions physiologiques qui permettent aux cellules de respirer correctement et au système immunitaire de fonctionner harmonieusement. En corrigeant l’acidose tissulaire, en réduisant le stress oxydatif et en allégeant la charge toxique, le corps retrouve naturellement son équilibre et sa capacité d’auto-guérison.
C’est dans cet esprit que le centre ¡Viva la Vida! accompagne les enfants cancéreux vers la régénération naturelle de leur santé. En leur offrant un environnement cancérifuge — air pur de la montagne, eau de source peu minéralisée, alimentation vivante et alcalinisante, exposition au soleil, activité physique douce, absence de stress — nous créons les conditions bioélectriques favorables à la restauration du terrain. Les mesures que Louis-Claude Vincent a mises au point il y a plus de soixante-dix ans viennent nous rappeler que la véritable santé s’enracine tout simplement dans le respect des lois naturelles de la vie.


« Notre corps est une création divine, merveilleuse et magique qui a été conçue à l’origine pour fonctionner parfaitement et nous permettre de vivre en excellente santé tout au long de notre vie.
Si un cancer survient, ayons l’humilité de reconnaître que notre organisme a pu être soumis à un niveau de stress au-delà de ce qu’il était capable de gérer.
En identifiant avec honnêteté et clarté les causes de cette terrible maladie, il devient possible d’agir directement à la racine du problème avec conscience, intelligence et amour. C’est dans cet esprit qu’on peut choisir d’emprunter le chemin de la guérison naturelle, celui qui consiste à avancer en harmonie avec les lois du vivant pour revenir à l’état de pleine santé qui est notre droit de naissance à chacun. »
Cet article a été écrit par Claire Loiseleur qui est la fondatrice et l’animatrice du centre ¡Viva la Vida!, dont la mission est d’offrir aux enfants cancéreux qui viennent y séjourner une régénération naturelle de leur santé avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.
Pour comprendre ce qu’est le centre ¡Viva la Vida! et comment il fonctionne, je vous invite cordialement à :
Par ailleurs, pour aller plus loin et comprendre sur quoi se base le centre ¡Viva la Vida! pour réaliser sa mission au service des enfants atteints par le cancer, je vous invite vivement à :
Voici une liste d’articles passionnants et probants sur les APPROCHES NATURELLES DU CANCER PAR DES SCIENTIFIQUES :

La chaîne YouTube Centre ¡VIVA LA VIDA! – français présente des vidéos éducatives et de sensibilisation sur le cancer de l’enfant :
La page Facebook : Le centre Viva la Vida parle du cancer pédiatrique et de la façon dont il est soigné de façon naturelle au centre ¡Viva la Vida! :
Le groupe Facebook OFFRIR À MON ENFANT CANCÉREUX UNE GUÉRISON NATURELLE est un lieu d’échanges courtois et chaleureux sur le thème de La guérison du cancer pédiatrique par des méthodes naturelles. Il est ouvert à tous les parents dont un enfant est atteint par le cancer et qui sont curieux de découvrir dans quelle mesure les clés de la santé naturelle pourraient permettre de régénérer la santé de leur enfant. L’objectif est de nous entraider mutuellement pour aller de l’avant, au-delà des obstacles qui se présentent à nous, en vue d’offrir aux enfants cancéreux une guérison naturelle avec tout le respect et l’amour qu’ils méritent.

« Si ton enfant a un cancer, cela signifie que son corps ne parvient plus à résister au niveau de stress auquel il est soumis, en conséquence d’un environnement et d’un mode de vie cancérigènes par définition.
Grâce à la loi de l’homéostasie, son corps est capable de détruire les cellules cancéreuses qu’il a lui-même fabriquées.
Cependant, cela suppose d’opérer des changements radicaux dans sa vie, en choisissant de se diriger vers un environnement et un mode de vie que je qualifie de “cancérifuges”.
Le mot « cancérifuge » n’existe pas dans le dictionnaire. C’est un mot que j’invente et qui pour moi signifie l’inverse de cancérigène.
Cancérigène signifie “favorable à l’apparition du cancer”.
Selon ma définition, “cancérifuge” signifie “favorable à la disparition du cancer”… »













